Le prix de la liberté
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
jeunes,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
jeu,
fouetfesse,
confession,
prememois,
oncle,
... petite table où nous sommes à touche-touche ; je dis cela surtout pour Michel qui prend beaucoup de place et dont les coudes et les jambes me frôlent beaucoup plus qu’il ne faudrait. Vers la fin du repas, mon oncle va porter les assiettes sales dans la cuisine pendant que je prends des assiettes à dessert dans le bas du vaisselier. Tournant le dos à Michel, je plonge la tête dans le meuble, et bien sûr je porte toujours la petite robe légère. En me relevant, je surprends le reflet de Michel dans le miroir du vaisselier ; il reluque mes fesses. Je me relève doucement pour m’assurer que ce n’est pas qu’une impression fugitive : gagné, ses yeux sont perdus dans la contemplation de ma culotte, mais il est tellement concentré qu’il n’a pas vu que je l’observais. Quand enfin je pose les assiettes sur la table, il a le visage écarlate car il vient de se rincer l’œil comme jamais, et moi j’ai la confirmation que Michel est un vicelard. Mon oncle propose d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter mon arrivée, et pendant qu’il va à la cave, Michel me dit comme en confidence, en se penchant vers moi : — Je n’ai eu que des fils ; pourtant, j’aurais tellement aimé avoir une fille comme toi, belle et intelligente… Et sur ces mots, il pose sa grosse paluche sur ma cuisse ; très dénudée aussi, la cuisse. Ah, cette petite robe ! Puis il ajoute sur un ton protecteur : — Enfin, j’ai de la chance : tu vis chez mon meilleur ami et je peux te voir souvent. Nous allons devenir de bons amis, et ...
... si jamais je peux t’aider pour quoi que ce soit, n’hésite pas à faire appel à moi ; tu seras toujours bien accueillie. Je lui renvoie un sourire convenu en me disant qu’il peut toujours attendre ce jour et qu’il n’est pas près de revoir mes fesses. Sa main se retire de ma jambe dès que le tonton refait surface avec la bouteille de champagne. L’oncle remplit deux verres ; le mien reste vide : j’ai juste la possibilité de tremper mes lèvres dans le verre de Michel. Quand je lui rends son verre, Michel le tourne délicatement pour poser ses lèvres là où j’ai posé les miennes et déguste son champagne avec gourmandise, les yeux fermés, en louant ce divin nectar. En le regardant faire son manège, j’ai l’impression désagréable qu’il m’embrasse sur les lèvres. Pendant qu’ils boivent leur champagne, je me lève pour finir de débarrasser la table et me sauve dans ma chambre. L’année universitaire commence ; de nouveaux locaux, de nouveaux professeurs, de nouvelles rencontres, de nouveaux liens, de nouveaux horizons, de nouveaux projets : que du bonheur… Je suis une élève brillante ; mes professeurs et mes nouveaux camarades ne vont pas tarder à l’apprendre. En attendant, mes nouvelles robes font leur effet ! Il suffit de voir la tête des autres filles quand les garçons me reluquent ; jamais je ne m’étais sentie autant convoitée par les garçons ; il faut dire que mes nouveaux vêtements dévoilent des formes qui n’avaient jamais été visibles au lycée, la censure vestimentaire de mes parents ...