Sodomisé par mon étudiant (2)
Datte: 22/07/2021,
Catégories:
Gay
- Ô Amjad, qu’est-ce que tu me fais ! C’est trop bon. - Tu aimes ? - Ô oui mon amour, continue ! Et sa langue, merveilleusement agile, faisait de tels mouvements entre mes deux globes fessiers que je ne pouvais déjà plus qu’en gémir de plaisir. Sa barbe, rasée depuis presque 24 heures, était déjà rêche et ses picotements sur mes fesses augmentaient ma jouissance. - Moins fort ! Me dit-il. Les cloisons ne sont peut-être pas épaisses, on pourrait nous entendre. - J’vais essayer mais c’est tellement bon.... viens sur moi, que je t’en fasse autant ! Il se mit donc sur moi en 69. Je repliai mes jambes pour bien lui présenter mon cul alors que lui n’avait qu’à écarter les siennes de part et d’autre de ma tête pour me dévoiler en zoom ces splendeurs que j’avais aperçues dans le bureau des douanes, ces beaux roustons, son énorme sexe tendu, sa peau brune et lisse comme du satin, son cul idéalement musclé. - Mon Dieu, ta queue est vraiment énorme ! - La tienne n’a pas l’air mal non plus ! Elle fait combien ? - 16 cm. Et la tienne ? - 21 ! - Ouah ! Et le diamètre ? - A peu près 16. - Ouf ! C’est colossal ! Et je me mis à lui lécher les boules puis je me dirigeai vers l’anus. Au moment où je commençai à le découvrir avec la langue, il m’interrompit, tout en serrant fort ma bite d’une main. - Tu sais, tout à l’heure à la douane... - Oui ? - Quand ils ont commencé à me doigter, ils y sont allés violemment et je me suis sentis violé... - Moi aussi. - Pour le supporter, je me suis imaginé ...
... que c’était toi qui le faisait. J’ai fantasmé sur tes doigts, ta bouche... - Et moi, j’étais si mal de les voir te le faire. Je me sentais si responsable de t’avoir emmené dans ce voyage. Je me sentais fautif. - Mais maintenant on est là tous les deux et on s’aime et on les emmerde ces deux connards. Dans le fond, ils nous ont permis de nous désinhiber et on n’en serait peut-être pas là ce soir sans eux... - Oui mon amour. Et nous reprîmes nos caresses et nos baisers. Au bout d’un moment, je lui dis de venir sur moi. J’écartais les jambes et il se déposa délicatement sur mon corps, effleurant mon sexe du sien tout d’abord, puis se couchant tout à fait dessus, bandaison contre bandaison, puis je reçus toute sa masse sur moi. Je refermai bras et jambes sur lui et nous nous embrassâmes dans la plus langoureuse et la plus belle des étreintes. Mes mains découvraient chaque parcelle de son corps, le moindre muscle, le moindre grain de beauté, la moindre veine saillant sous la peau... . Il bougeait lentement, cherchant mon cou, ma bouche, mon front, mon nez.. avec ses lèvres. De temps en temps, il s’arrêtait et plongeait son regard dans le mien. Ses yeux noisettes étaient de la douceur de ceux d’un faon et nous nous murmurions à ce moment là de petits mots tendres d’une niaiserie profonde mais d’une absolue vérité cependant. Chaque mot, chaque parole était ressenti. Puis j’écartai un peu plus les jambes tout en les remontant pour, autant que son poids le permît, lui offrir mon trou. ...