Sodomisé par mon étudiant (2)
Datte: 22/07/2021,
Catégories:
Gay
... Il le comprit et son gland vint délicatement frotter sur ma rondelle. - Sodomise-moi mon amour. - Tu veux vraiment ? - Oui. - Tu as du gel ? - Non. - J’en ai. Il se retira le temps de fouiller dans ses affaires. - Qu’est-ce que tu fais ? - Je prends le préso. - Ecoute... moi, j’suis clean...alors si tu l’es aussi... - Oui... oui...je le suis aussi... mais, tu es sûr ? - Si tu me dis que tu l’es, j’ai pleine confiance en toi.... je t’aime et si tu m’aimes comme tu le dis... - ô oui je t’aime ! Moi aussi... - Alors pourquoi attendre ? Nous y viendrons tôt ou tard. — Tu as raison. Ceci posé, il se mit au travail. Avec infiniment de tact et, bien sûr, de doigté, il me lubrifia le trou puis, quand j’eus trouvé la position idéale, il commença à me pénétrer mais, si précautionneusement qu’il s’y prît, l’énorme morceau me déchirait l’anus. - J’te fais mal ? - T’inquiète, ça va le faire. - Tu me dis hein ? - Oui, attends là, ouf, douloureux... t’es quand même sacré bien membré... Et puis j’ai pas bien l’habitude. Depuis mon divorce, j’ai dû le faire six ou sept fois seulement...attends, on va faire autrement. Mets toi sur le dos. - Comme ça ? - Oui... j’vais m’empaler sur toi... Comme ça je vais mieux contrôler. A mon tour, je me relubrifiai et astiquai aussi à fond la gigantesque colonne. Je me mis à genoux, face à mon nouvel amant et je plaçai ma rondelle à l’extrémité de sa pine que je tins fermement jusqu’au moment où le gland disparut dans mes fesses. Après quoi, je n’eus plus ...
... qu’à me laisser glisser progressivement, en remontant dès que la douleur était trop forte puis en redescendant toujours plus bas. J’obtins rapidement des résultats et je me mis à aller et venir avec ardeur. Alors nous changeâmes un peu de posture. Je le laissai s’asseoir pour m’asseoir sur sa queue et passer mes jambes croisées derrière lui. Ainsi, nous pûmes nous galocher et nous caresser toutes les parties du corps. Je faisais tous les mouvements, dans tous les sens, à mon rythme. Je n’ai jamais rien connu de pareil. Nous étions en fusion l’un dans l’autre. Légèrement surélevé par rapport à lui, je pouvais enserrer sa tête, la maintenir contre mes épaules ou me relâcher et me pencher pour l’embrasser à bouche-que veux-tu. Combien de temps sommes nous restés dans cette position, je l’ignore, mais cela a été le plus beau moment de ma vie sexuelle. J’étais au comble du bonheur. Mon orgasme se rapprochait à grand pas. - J’vais jouir Amjad, j’vais jouir. - Oh non, pas déjà... - Oh si mon amour... si Laisse moi éjaculer ainsi, tout contre toi. D’ailleurs il était trop tard. Ma queue plaquée contre ses abdos explosa dans une abondance defoutre pendant que je me cramponnait à lui en essayant de gémir le plus discrètement possible pour n’être pas entendu de l’extérieur. Je restai quelques instants contre lui. Le sperme ruisselait sur sonpubis et arrivait sur ses cuisses. - C’était trop bon mon amour... trop bon... je n’ai jamais joui comme cela. - Donne-moi ton sperme Emilien ! - ...