1. Sodomisé par mon étudiant (2)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Gay

    ... Quoi ? - Donne-moi ton sperme. - Non c’est pas ça! - Quoi ? - Redis -le ! - Donne-moi ton sperme ? - Non, mon prénom. C’est la première fois que tu m’appelles par mon prénom. On me trouvera peut-être un peu fleur bleu mais être appelé par son prénom pour la première fois par l’homme qu’on aime, surtout dans ces circonstances là, c’est un moment unique, privilégié. C’est faire l’Amour oui, avec un grand A. - Emilien, Emilien chéri, Emilien que j’aime, mon Emilien adoré, mets ta main dans ton sperme. Je veux le lécher. Je veux tout prendre de toi mon Emilien chéri. Au comble du bonheur, sans être capable de la moindre volonté, prêt à tout pour lui obéir, je m’écartai un peu de lui, mais tout en restant bien planté sur sa queue. Sur mespoils pubiens, sur les siens, partout où je le pus, je récoltai masemence. Il me suça les doigts et ensuite il m’embrassa à pleine goulée. Je n’avais jamais rien fait de tel avant et cela me parut délicieux. Il s’allongea. J’en fis autant sur lui et il se mit alors à me biter aussi fort que le poids de mon corps le lui permettait. D’habitude, après l’amour, je m’arrête. Mais là, j’en voulais tellement. Alors je me soulevai. Je regardai son pénis luisant et l’avalai relevant ce goût indéfinissable de la pine qui sort du trou que j’appris à connaître de ce jour, celui de mes sécrétions anales car je mouillais abondamment. Puis je me mis à quatre pattes sur le lit mais suffisamment au bord pour qu’il pût m’enfiler debout en fléchissant un peu les ...
    ... jambes. Il me bourra à fond en restant collé le plus possible contre moi, sa queue restant le plus possible dans ma chatte; ses mains tendues agrippaient le rebord de son lit en mezzanine ou il les posait sur mes reins, sur mes épaules, me tenait par les hanches, les mettait sur le lit pour se stabiliser dans ses mouvements contre mon cul. Comme il est remarquablement endurant cela se prolongea, se prolongea jusqu’à m’épuiser. Il parlait à voix basse: - Ton cul est trop bon... comme j’aime te prendre mon amour. J’suis bien dans tes fesses... j’aime trop te bourrer... ton corps est chaud et doux. et quand je pouvais reprendre mon souffle, je l’encourageais. - Vas-y... prends-moi.... bourre-moi... lime-moi comme une chienne... j’suis à toi, complètement à toi. Fais ce que tu veux avec ta bite. Enfonce-la-moi toute... Vas-y mon Amjad chéri. Cela l’encouragea à me parler un peu plus brusquement. - Tu l’aimes ma queue, hein ? t’aime que j’te prenne. Tu t’retiens pour pas couiner hein, mais t’aime que j’te déboîte. Tu l’aimes la grosse queue de ton Amjad chéri qui te déchire bien le cul là ? - Oui mon trésor, continue. Et puis je le sentis se crisper, il m’attrapa par les épaules pour donner d’ultimes et violent coups de reins et me l’enfoncer plus encore en m’arrachant un cri de douleur. Je sentis son sperme se répandre en moi. Quand les pulsations de la bite s’arrêtèrent, il se pencha sur moi m’emprisonnant dans ses bras puissants et posant sa tête contre mes omoplates et sa main ...