1. Le test


    Datte: 22/07/2021, Catégories: f, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Masturbation journal, fsoumisah,

    ... Nicolas m’arrêta. — Ce mot, Emma, sera à bannir de ton vocabulaire me concernant. Pas de mais. Dis-moi maintenant, est-ce que ça t’a plu, cette petite mission ? Sois honnête, surtout.— Je ne sais pas trop…— Moi je sais, je sais aussi que tu mens très mal. Le tissu de la chaise sur la deuxième photo a l’air mouillé entre tes cuisses. Je me trompe ?— Non, c’est vrai…— Bien. Donc tu aimes ces petits jeux. C’est très bien. Je te rappelle que tu dois maintenant rester une heure ainsi. Je te rappellerai. Blackbird raccrocha, et je constatai que Nicolas me regardait en se demandant probablement ce que signifiait mon visage déconfit. Je repris une contenance, puis me remis au travail. Mais très vite, je vis que Nicolas louchait vers ma poitrine. Je décidai de le calmer, car je ne voulais absolument pas qu’il fasse à nouveau tomber son crayon – je serais alors en très mauvaise posture. — Nicolas ! Depuis tout à l’heure je te vois loucher, tu as un problème ?— Euh… non, pas du tout, je réfléchissais.— Alors regarde ton écran d’ordinateur, ce sera plus productif.— Oui, excuse-moi.— Je t’ai permis de me tutoyer hier, mais je ne sais pas si c’est une bonne idée finalement. Je ne voudrais pas que tu deviennes trop… familier. Comprend bien qu’il y a des règles ici, une hiérarchie, et à l’heure actuelle, puisque je te forme, je suis ta supérieure, compris ? Alors tâche de te montrer respectueux, de rester à ta place, et tout le monde s’en portera mieux. C’était un peu violent, et ...
    ... malhonnête de ma part. Après tout, qui est-ce qui lui exhibait ses nichons au regard, à travers un chemisier transparent ? Qui était indécent ici ? Mais c’était nécessaire, salutaire même. Après une heure passée cul nu sur la chaise, mon portable sonna à nouveau. — Bien, avant que tu ne caches au regard ta coupable marchandise, que tu exposes comme une vulgaire catin au tout venant, tu vas à nouveau m’obéir, ok ?— Ok…— Glisse une main sous la table, et passe ton doigt entre tes lèvres. C‘est bon ?— Oui…— Maintenant, remonte-le à ta bouche. Sois discrète, tu n’es pas seule il me semble. L’air de rien, je remontai ma main comme pour me gratter le nez, et je respirai le parfum délicieusement scandaleux de ma chatte. Puis, en prenant soin que Nicolas ne me regarde pas, je léchai le doigt. — Bien, maintenant, touche-toi. Directement ton clitoris. Pas de rythme lent, accélère, accélère. Je veux que tu te fasses jouir au plus vite. Mes doigts traçaient des cercles sur mon clitoris, tournoyant et faisant monter un plaisir progressif. J’accélérai selon les instructions de Blackbird. Évidemment, après une heure dans un tel état, je ne mis pas longtemps à sentir l’orgasme venir. Je serrai les lèvres pour contenir un cri et parvins à jouir en silence. Seule une crispation avait trahi ce qui se passait, mais Nicolas ne la remarqua pas. — C’est fait.— Maintenant tu peux te rhabiller. Il avait raccroché. Je fis semblant de réajuster mon chemisier en le remettant dans ma jupe, ce qui me permit ...
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