1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (6)


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch6. Nous et Rex, le chien des cousins. Cette partie de l’histoire est à la limite de l’irracontable tellement elle est immorale, mais ce souvenir est tellement excitant que je ne peux m’empêcher de vous le raconter. Putain, j’en bande déjà ! Nous avions donc la garde de Rex, le chien de nos cousins qui devaient partir en voyage avec leurs parents ; ils ne pouvaient pas le laisser seul. Par un bel après-midi d’août, alors que nous étions Justine et moi en train de nous faire bronzer après un bon bain, Rex est venu nous rendre visite. Cet animal très joueur avait commencé par nous lécher les mains, le visage, et il poussait nos mains avec sa truffe. Son but : avoir des caresses que nous lui donnions à profusion. Nous étions allongés sur nos transats, nus comme d’habitude, à profiter du soleil afin d’entretenir notre bronzage. C’est alors que le chien s’est assis à nos pieds, regardant alternativement les miens et ceux de ma sœur ; un coup de langue par-ci, un coup de langue par-là, ce qui fit pousser un cri à ma sœur, puis il jeta son dévolu sur les miens. Il se mit à me les lécher à tour de rôle, passant sa langue avec ardeur entre chaque orteil et sous la plante des pieds. Trouvant cela très agréable, je décidai de me laisser faire tout en le surveillant ; des fois qu’il lui prenne l’envie de me croquer un orteil... À l’aide de ces incisives, il commença à gratter la corne que j’avais à l’arrière des talons, la mordillait, la lissait ...
    ... avec sa langue. C’était très étrange, mais toutefois très agréable. Au bout d’un long moment, il cessa ; je pus alors constater l’efficacité de cette pédicure : j’avais les orteils et les talons extrêmement doux. Plus de corne, plus de peaux mortes. Mieux qu’une pro, et en plus gratis ! Visiblement ravi de son travail, l’animal vint chercher des caresses comme récompense ; je lui en donnai encore et encore. Par contre, il venait toujours nous renifler : moi, les couilles et le sexe, et Justine, la chatte ; je ne savais pas si c’est une habitude chez les chiens, mais c’est gênant. J’ai appris par la suite que c’est naturel : c’est pour nous identifier en quelque sorte, juste pour savoir qui il faut sauter. Une femelle ? Non, un mâle... Zut ! Après l’avoir chassé, il partit à l’ombre sous un arbre et je me suis assoupi. Je fus réveillé par les gémissements de Justine ; je jetai un coup d’œil dans sa direction et constatai que le chien était en train de laper ardemment la minette de ma sœur. Celle-ci, à plat-ventre sur le transat, appréciait visiblement les coups de langue de Rex dont le sexe grandissait à vue d’œil. Justine gémissait de plus en plus ; elle écarta les cuisses. Très excité, le chien continua et Justine eut un orgasme. Rex commença alors à grimper sur le transat, prêt à empaler ma sœur. C’est à ce moment-là que j’administrai une claque magistrale sur les fesses de ma coquine de sœur en criant sur la bête qui partit se cacher. — Justine ! Tu es complètement folle ! — ...
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