1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (6)


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Pardon... je croyais que c’était toi, balbutia-t-elle. — Tu me prends pour un imbécile ou quoi ? Tu n’as pas fait la différence entre ma langue et la sienne ? Merci pour moi... S’apercevant que je bandais comme un âne, elle me regarda droit dans les yeux. — Au moins toi, visiblement, ça à l’air de te plaire ! Tu aurais pu me laisser continuer au moins. — Et si les parents étaient arrivés, on aurait fait comment ? Elle ne répondit rien et se mit à bouder. Elle était mal à l’aise ; sans doute se rendait-elle compte qu’elle était en train de faire une connerie, ou bien réfléchissait-elle à une stratégie pour arriver à ses fins. Quand nos parents rentrèrent, nous n’étions pas très à l’aise ; à la question de savoir comment s’était passée notre journée, Justine eut un moment d’hésitation et finit par répondre un « très bien » hésitant. Papa de dit rien et, prétextant un coup de téléphone à l’usine, il s’isola dans son bureau. Il en ressortit quelques instants plus tard, se dirigea vers nous, nous regarda dans les yeux. Son regard était sévère ; il me fit froid dans le dos. J’eus un mauvais pressentiment : et si la maison était piégée, remplies de caméras ? Pour un directeur travaillant dans une usine de télésurveillance, cela pourrait paraître logique d’avoir fait installer des caméras. Il rompit le silence : — Sonia, nos enfants ont besoin d’apprendre les bonnes manières ; allons nous préparer afin de nous occuper d’eux comme il se doit. Ils partirent en direction du garage, ...
    ... nous laissant seuls, plantés nus dans le salon, ne sachant que faire. Je fis part de mon doute à Justine. — Tu imagines ? Si papa a fait installer des caméras... — Non, pas ça... Son visage venait de changer ; il reflétait la crainte et l’angoisse. Inquiets, nous nous sommes mis à scruter du regard la pièce ; tous les coins et recoins furent inspectés, mais rien : pas de trace de caméra. Nous étions à moitié rassurés et sereins. C’est alors que nos parents firent leur apparition : papa en string de cuir noir, maman avec une combinaison en latex noire qui lui moulait le corps, laissant voir tous les détails de son anatomie. Sa poitrine généreuse débordait d’un soutien-gorge hyper serré, ses tétons à la limite de s’évader ; sous la ceinture, je voyais la forme de sa fente. Aux pieds, elle portait des escarpins à talon très hauts, ce qui lui donnait un air de dominatrice. Ils s’approchèrent, l’air grave. Avec un regard accusateur, maman, nous ordonna : — Suivez-nous, et pas un mot ! Le ton était froid, puissant ; nous les suivîmes sans broncher. Ça y était, nous allions être dominés. Ils nous l’avaient dit ; nous allons être leurs jouets. Ces tenues et ce ton inquisiteur m’excitaient ; j’en bandais déjà. Justine avait l’air d’être aussi excitée que moi. Elle me fit un clin d’œil complice et passa une langue gourmande sur ses lèvres, ce qui en disait long sur son état. Nous arrivâmes devant l’atelier transformé en donjon. Papa ouvrit la porte ; je pouvais admirer ses fesses rondes, ...
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