1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (6)


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... musclées, puissantes. J’eus envie de les toucher. «Oh, putain... Je suis en train de devenir pédé ! » Cette pensée me fit plaisir quelque part. Maman nous ordonna : — Entrez là-dedans et mettez-vous là devant l’établi, mains posées à plat dessus ! Nous nous exécutâmes. — Regardez là ! hurla-t-elle. Papa était en train d’ouvrir les portes d’un placard situé en hauteur que nous n’avions pas encore découvert. À l’intérieur, un écran allumé, une image : Justine et moi au bord de la piscine avec Rex. Je sentis le rouge me monter aux oreilles, j’étais mal ; Justine avait les yeux rouges. Le monde s’effondrait : nous venions de nous faire piquer comme des gamins. Sur l’écran, les images défilaient aussi nettes qu’à la télé : moi et Rex, et la séance de pédicure ; puis Justine et Rex qui la léchait. Elle gesticulait, était secouée (par un orgasme certainement), puis le chien qui commençait à lui grimper dessus, et enfin moi qui me levais et lui collais une claque sur le cul. Papa éteignit l’écran. — Alors, il semble que vous avez passés une bonne journée ! Vous êtes satisfaits de vous ? Eh bien, c’est à notre tour maintenant ! — Justine, tu n’as pas honte de te faire lécher par le chien de tes cousins ? Et vous avez oublié que vous ne deviez rien faire sans notre accord. Justine, tremblante, tenta une négociation : — Maman, j’ai cru que... — Tu as cru quoi ? Que tu allais te faire sauter par ce clebs ? Vous allez le payer, tous les deux : préparez-vous à prendre la raclée de votre ...
    ... vie ! — Mais, maman, je n’ai rien fait de mal : j’empêchais Rex de grimper sur elle, repris-je pour tenter de me soustraire à la punition annoncée. — Je ne veux pas le savoir ; tu seras aussi puni : « Un pour le tort, un pour la raison. » comme disait ma mère. Vous n’aurez qu’à vous arranger après. Par contre, montre-moi tes pieds. Je levai mes pieds en arrière, un peu comme un cheval que l’on va ferrer ; ma mère me les palpa, caressa mes talons. — Hum, ce n’est pas mal comme pédicure. Qu’en penses-tu, Éric ? Mon père, dont la bite dépassait de son string, vint constater et affirma : — C’est vrai que c’est pas mal du tout ; il faudra qu’on essaye. — Et toi, Justine, ce broute-minou, ça t’a plu ? Petite dévergondée ! Tu sais comment on appelle une fille comme toi ? Une salope ! Tu comprends ça ? hurla maman en lui envoyant une magistrale claque sur les fesses. Sous le choc, Justine se retrouva plaquée contre l’établi. Après une hésitation, elle répondit un « Oui, maman. » timide, à la limite des larmes. — Eh bien, c’est pire que ce que je pensais. Êtes-vous prêts à assumer votre désobéissance et vos bêtises ? Nous lui répondons un « Oui, maman. » timide. — Très bien. Éric, ils vont goûter aux baguettes ; toi, tu t’occupe de Jérôme, et moi de cette dévergondée. Mon père tendit une baguette à maman ; elle la saisit, et d’un coup sec du poignet la fit siffler dans l’air. Cela m’a rappelé la petite séance où Justine m’avait attaché à un arbre et fouetté dans les bois ; ce souvenir ...
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