Ma femme est une salope, mais pas que... (2)
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pensaient de ne pas avoir eu tort de se priver de Colette, voire par la suite de mieux en profiter. Cependant, ils n’osaient pas en ma présence faire quoique ce soit. Faussement gênés par les rémanences d’une certaine bonne éducation encore présente sans doute. Mais Bruno, de nouveau derrière elle et semblant de plus en plus vouloir la pistonner et la pénétrer cette fois pour de vrai, se tourna vers eux entraînant par la même Colette légèrement penchée face à eux. Le tenant par les bras il la fit se pencher un peu plus encore vers eux. Ses seins lourds et souple se balançant maintenant à quelques centimètres de leurs visages respectifs. Ils n’auraient eu qu’à tendre un peu le cou pour que chacun d’eux puisse lui lécher et lui sucer un téton. Intérieurement ils devaient se trouver face à un problème plus que Cornélien, tant cette superbe poitrine ainsi offerte devait les tenter, de la toucher. Mais même s’ils ne devaient pas être de marbre, ils n’en firent rien. Bruno ne s’en formalisa pas, redressant Colette, il l’approcha encore plus proche d’eux, à leur effleurer les genoux et presque comme un maquignon sur la place du marché, il vanta les atouts de ma femme, leur demandant d’approcher encore pour voir en pleine lumière cette belle chatte bien lisse qu’il caressait en même temps qu’il la leur montrait, faisant remonter le plat de sa main sur son pubis tout aussi lisse, faisant se tendre et ressortir bien visiblement les lèvres charnues du sexe de Colette, puis de la ...
... retourner et de lui écarter les fesses pour qu’ils puissent bien voir de près son joli petit trou de cul et ça, je suis à peu près sur qu’ils ne l’avaient jamais fait ou qu’elle devait tout simplement le leur interdire, quand Bruno leur dit : « Allez-y messieurs, profitez en, mettez-lui un doigt dans le cul, je viens de le lui faire, et regardez comme son mari semble n’attendre que ça, pas vrai parton que ces messieurs peuvent mettre un doigt dans le cul de votre femme… ». C’est à ces mots que je vis que ces charmants messieurs d’un age respectable tout comme respectable ils voulaient se faire passer auprès de moi sachant qu’ils avaient déjà fait l’amour avec Colette, c’est là que se révéla leur vrai visage de vieux cochons vicieux. C’était maintenant clair, il était évident qu’ils n’avaient jamais pu sodomiser ma femme, mais là, avec l’aide de Bruno, même en passant après lui, les simples mots enculer Colette, leur firent perdre toute retenue. Sans attendre ce fut au premier qui lui enfonça le doigt dans le cul tandis que l’autre lui en enserrait plusieurs dans la chatte, tout deux de l’autre main cherchant un de ses seins à palper, à malaxer, ou lui caresser les fesses, lui lécher le sillon du cul ou l’anus avant d’y mettre le doigt, bien profond. Ils le faisaient presque nerveusement, comme des adolescents tout en gémissant et en se rependant en des : « Oh oui enfin ! Enfin je vous doigte votre petit trou de cul ! Oh oui Madame Choisez, vous allez enfin me laisser vous enculer… ...