1. Ma femme est une salope, mais pas que... (2)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre II S’il subsistait encore des doutes dans mon esprit, cette fois, avec ce qu’il m’avait été donné de voir, ceux-ci venaient de définitivement s’estomper. Non pas que j’ignorai que ma femme et ce depuis toujours me trompait, mais que les interrogations que j’avais encore en ce qui concerne le fait qu’au moins un de mes ouvriers se livrait à des batifolages avancés avec Colette, étaient fondées. Je me demandais aussi jusqu’à quel point il n’aurait pas été impossible que si pas tous les deux, au moins elle savait ou supposait que j’étais là à les observer. Son penchant avéré consistant à me voir me faire humilier trouvant ici tout son sens avec Bruno, mon ouvrier et donc supposé être mon subalterne à minima respectueux tant envers son patron que sa patronne. Le soir au dîner, Colette ne sembla pas être différente des autres soir. Elle me parlait comme si de rien n’était et le fait de lui poser la question de savoir si son après-midi s’était bien passé, ne révéla en elle rien de spécial si ce n’est un petit sourire coquin. Petit sourire coquin qui de toute façon venait à chaque fois ponctuer son absence de réponse quand je voulais savoir de quoi avait été faite sa journée. Le lendemain, je restais aux ateliers avec quelques ouvriers, dont Bruno, en vue de préparer des pièces pour un chantier à venir, plus facile à façonner avec nos machines que sur place. Bruno ne laissa rien paraître, hormis un petit air assez sûr de lui qui se traduisait presque imperceptiblement ...
    ... par son regard qu’il soutenait face au mien. Sans doute devait-il se dire en se rappelant la veille, qu’il avait bien profité de la femme de l’homme qui se tenait devant lui et qui était en plus son patron. Pour lui, ce devait être la première fois qu’il passait réellement aux actes, même si je savais pertinemment bien que lui tout autant que les autres avaient des vues sur leur patronne et qu’ils n’étaient pas en reste pour le lui faire remarquer en de petits gestes ou réflexions parfois graveleuses quand elle passait à leur portée. Chose qui amusait Colette. C’était d’ailleurs assez révélateur de leur état d’esprit tant envers moi qu’envers elle, une sorte de non-respect en mon chef et qui s’était installé depuis longtemps maintenant. Tellement présent qu’il en était devenu contagieux car, régulièrement, j’avais des apprentis en fin d’études des écoles technique des alentours, qui venaient en stage d’entreprise et, étant le plus souvent sous l’autorité de mes ouvriers, ces derniers leur transmettaient comme tout naturellement leurs points de vue et d’envie quant à ma femme. A tel point que le mot se donnait entre apprentis, qui bizarrement ne rechignaient jamais, que du contraire, à venir faire leurs stages dans mon entreprise. Et pour causse, la belle Colette était pour eux une réelle source d’inspiration que leur futur métier. Mais nous y reviendrons d’ailleurs plus tard et beaucoup plus en détail dans au autre chapitre. J’étais occupé à expliquer les plans à mes ouvriers ...
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