1. Ma femme est une salope, mais pas que... (2)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... quand soudain la porte de l’atelier s’ouvrit. Colette apparu en entra. Elle était vêtue d’une petite jupe plissée qui laissait voir le ton halé de ses longues jambes chaussée de talons semi-aiguille et d’un petit top dos nu qui lui laissait voir, par pure coquetterie, les fines bretelles de dentelle rose fushia de son soutien-gorge. Elle devait sortir de son coiffeur, car sa chevelure défaite était légèrement permanentée et lui tombait au ras des épaules tel une crinière, peu maquillée comme à son habitude, elle n’en avait pas besoin, seul son rouge à lèvres assorti en un peu plus foncé à sa lingerie faisait ressortir son si joli sourire. Elle tenait la poignée de la porte dans une main et le l’autre nonchalamment baissait juste assez ses lunettes de soleil pour me regarder en s’exclamant : « Et bien alors mon chou ! Tu as oublié ? ». Effectivement, pris par mon travail et n’ayant pas regardé l’heure, j’avais oublié que des clients devaient venir pour finaliser un devis. C’était elle qui en quelque sorte les avait débauchés, avec son talent si particulier et si convainquant en lequel je ne doutais plus depuis longtemps. Sachant qu’elle en usait et en abusait pour son propre plaisir tout comme elle faisait celui de ses employeurs, dans le cadre de son travail en dilatante au sein d’une société d’immobilier en attendant de fonder la nôtre, pour venir en complément de mon entreprise de bâtiment. Il va sans dire que là aussi il y aurait beaucoup à en dire et nous le ferons, ...
    ... notamment en ce qui concerne les visites que je qualifierais de privilégiées avec nombre de ses clients afin d’obtenir des contrats, réussite qu’il n’était plus nécessaire de mettre en doute tant les signatures pleuvaient dès qu’elle s’en occupait. Arrivèrent les clients. Deux hommes d’age mûr, la soixantaine bien tassée tout comme leurs comptes en banque lui aussi bien nanti. Très classe dans leurs complets 3 pièces d’une autre époque, ils avaient fait fortune dans l’investissement immobilier. L’un était un peu plus fort que l’autre mais tous deux semblaient encore bien alerte. Leur politesse, surtout envers Colette, rivalisait avec leur tact à ne pas exhiber outrancièrement le fait qu’ils soient des hommes d’affaires ayant réussi. Ils étaient sobres et distingués. Tout naturellement, Colette se proposa de les accueillir. Elle les fit entrer dans le petit bureau jouxtant les ateliers à peine séparés d’eux par une porte dont une partie était vitrée. Une grande fenêtre sans stores ni rideaux donnait quant à elle sur l’allée, les dépendances et le parking privé. Assis à mon bureau dos à cette fenêtre se tenaient en face de moi les deux clients avec lesquels j’avais déjà discuté, mais chez eux cette fois là. Bien évidement Colette les connaissant également mais je ne sais jusqu’à quel point bien que je pouvais m’en douter tant ce contrat avait peu de chance au départ de d’échoir en ma faveur et qui, après plusieurs visites des bâtiments avec Colette, avait fini de les convaincre que ...
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