1. Ma femme est une salope, mais pas que... (2)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... positionné, il devait lui caresser les fesse parce que je voyais par moment bouger un peu les plis de la courte jupe plissée de Colette. Ensuite son bras se repliait et il devait alors être occupé lui masser le dos. J’en fus convaincu quant à un moment je vis apparaître les doigts de sa main posé et caressant une épaule de Colette, essayant pour le moment vainement d’en faire glisser la bretelle de son soutien gorge. Je dus me faire violence pour ne pas intervenir car cette fois ci cela se passait implicitement en face de moi et qui plus est en présence de mes clients. Mais sans doute devait-il compter justement sur leur présence que pour en profiter en toute quiétude, sachant que je n’étais pas forcément un fier représentant de la gente masculine mais plutôt un soumis et un lâche et que de toute façon je n’oserais rien faire qui risquerait de mettre en péril la finalisation de ce quand même gros contrat, contrat que je savais pertinemment obtenu non sans que ma femme n’y soit pour quelque chose. Mes clients n’étant pas dupes et eu égard leur age avancé, il n’en était pas moins certain qu’ils avaient du honorer Colette comme il se devait et que la réelle finalité de ce contrat, hormis faire plaisir au mari, verrait sa femme devoir encore être le pôle de tout leur intérêt pour sans doute encore de nombreuses fois. Il ne me restait alors plus qu’à observer et voir jusqu’où Bruno poserait les limites. Chose que je vis bien assez vite. Quant à Colette, elle n’intervenait que ...
    ... très peu dans les discussions, juste assez que pour justifier sa présence et aussi marquer le pas quant à la nécessité de celle-ci jusqu’au bout, le plus souvent en me regardant droit dans les yeux. Il n’était pas pour autant question pour elle que Bruno soit son complice mais juste son jouet qu’elle utiliserait à discrétion et qu’elle laisserait faire selon que ça lui plaise ou non. La connaissant cela aussi faisait partie de son jeu de séduction qui me voyait être moi également son jouet mais pour d’autres raisons et à commencer par le plaisir qu’elle pouvait éprouver en me voyant me faire humilier, à fortiori par l’un de ses ouvriers et cette fois devant moi sans que je ne puisse mais plus certainement que je ne veuille intervenir. Acceptant implicitement par là même tout ce qui en découlerait car au final, c’était elle qui menait la danse. Même si je pouvais me douter que mes clients avaient sans aucun doute déjà « baisé » ma femme et sans assurément pas qu’une seule fois, je ne pensais pas qu’ils étaient eux aussi complices ou jouets pour cette rencontre. Il me semblait que c’était seul l’opportunité qu’avait eu cette discussion de devoir faire intervenir Bruno qui faisait que quelque part je ne pensais pas que cela ne soit pas limité qu’à lui. D’autant que sa présence n’était prévu et que malgré tout, chaque visite avec Colette ne signifiait pas pour autant baise et autres joyeusetés. Les clients présents semblant suffisamment absorbé par nos discussions. Je fus sorti de ...
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