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Ma femme est une salope, mais pas que... (2)
Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe
... j’étais l’entreprise qu’il leur fallait. Elle se tenait debout à côté d’eux, un peu nonchalante une main posée tout aussi nonchalamment sur le dossier de la chaise de celui qui était le plus près de la porte des ateliers. Après des banalités échangées pour lesquelles Colette savait montrer le plus grand intérêt quand il s’agissait des clients, s’en vinrent les discussions finales du devis. Quelques points devant être encore précisé, ils relevaient plus de la compétence et de l’expérience que j’avais sur le sujet, bien que pour montrer à mes clients que je prenais à cœur leur projet et les rassurer, je fis, bien malgré moi et après coup me rendant compte que c’était bien là une très mauvaise idée, appel à Bruno qui lui, leur détaillera la façon dont l’équipe s’y prendrait car dans l’esprit du client, le patron sait ce qu’il convient de faire mais est aussi là pour gagner de l’argent alors que l’ouvrier est quant à lui et par nature, moins enclin à des considérations purement mercantiles que celle de son patron. Bruno entra donc, l’air sérieux, presque un peu surjoué et se positionna un peu en retrait de Colette et des clients qui devaient se tourner sur leur chaise pour le regarder. Certes le bureau n’était pas très grand mais il n’était pas non plus étriqué et il y avait encore bien de la place que pour qu’il vienne se coller à Colette qui elle avait toujours une main sur le dossier de la chaise d’un des clients. Bruno s’expliqua avec moult détails. J’allais le renvoyer ...
... à ses occupations mais un des clients m’interpella en me demandant si cela ne me dérangeait pas qu’il puisse rester au cas où il y aurait encore des précisions à lui demander, d’autant que les discussions n’étaient pas tout à fait encore terminées. j’acquiesçai non sans remarquer avec un certain agacement le sourire narquois qui venait de se dessiner sur le visage de Bruno. Colette sentant monter en moi cet agacement dit alors : « Eh bien dès que nous aurons fini nous passerons avec ces messieurs dans le patio pour prendre une tasse de thé ou de café… ». Je repris donc la discussion de la finalisation de ces devis et ce en la présence bien malgré moi de Bruno, qui ne décollait pas de Colette. Au bout d’un moment, je la vis quelque peu se redresser. Ne voyant pas en totalité sur pied Bruno que Colette cachait en partie, je ne pouvais que supposer qu’il en profitait pour la toucher, chose qui avait du la surprendre. Mais comme cela n’avait pas l’air de la gêner outre mesure elle resta en place sans s’éloigner de Bruno. Chose qu’elle aurait très bien pu faire si cela l’avait incommodé. Pourtant, tout en me regardant avec ce même sourire narquois, Bruno se tourna quelque peu de sorte qu’il était de 3/4 de sorte que le bras libre de Colette soit en face de lui à presque lui toucher la braguette de sa salopette et de manière à ce que je puisse voir son bras disparaître derrière ma femme. A n’en pas douter il la tripotait et elle, ne bougeait qu’à peine. Comment son bras était ...