Ma femme est une salope, mais pas que... (2)
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... jupe se relâcher, puis descendre doucement. Si je ne pouvais entendre le bouton de celle-ci se faire déboutonner, je n’avais pas non plus entendu la fermeture éclair se faire dézipper. Chose que visiblement Bruno était arrivé à faire dans le silence le plus total et sans doute avec une extrême lenteur. La ceinture de la jupe ainsi libérée, elle se mit tout naturellement à descendre de par son propre poids, jusqu’à commencer à ralentir aux abords de ses hanches. Ce faisant, on voyait maintenant le bas ventre de Colette dénudé, ainsi que le haut de son pubis, lisse et glabre. S’en vint alors une main de Bruno qui le recouvrit tout en se mettant à le caresser, descendant jusque sur son sexe, encore caché par la jupe, qui, suivant le mouvement descendait elle aussi à tel point que plus assez retenue par ses hanches et sans aucune intervention de la part de Colette, glissa le long de ses jambes pour finir sa lente course sur ses cheviles. Bruno retira sa main du sexe de ma femme qui maintenant ne pouvait que difficilement cacher la totale nudité de son intimité. Elle restait là, comme soudainement envoûtée par les baiser et caresses de Bruno, les lèvres lisses et charnues de sa vulve nue, offertes ainsi aux regards de qui la regarderait et qu’elle ne pourrait cacher. Son sexe lisse entièrement épilé ou se montrait sans retenue sa superbe petite vulve bien dessinée, une simple fente entre deux plis légèrement charnus, tel celui d’une gamine ou d’une fillette. Bruno entrepris ...
... alors de terminer ce à quoi il rêvait de faire à la femme de son parton, finir le mettre entièrement nue sa patronne sous le regard médusé de son mari, en lui abaissant le top qui, suivant le même chemin que la petite jupe se retrouva finalement au sol et dont Colette machinalement se débarrassa. Elle se retrouva donc maintenant entièrement nue et sans possibilité de se couvrir rapidement et correctement. D’autant que ses vêtements même repoussé sous le même meuble classeur, lui était quasi impossible à récupérer rapidement. De plus Bruno l’ayant aidée pour le coup les avait repoussé du plus loin qu’il pouvait du bout du pied et ils étaient maintenant loin sous ce meuble et de toute façon souillé par la poussière qui n’était pas faite aussi souvent que dans une maison bien tenue. A pire, aurait-elle pu les récupérer, la faible hauteur des pieds, ainsi que l’obscurité y régnant aurait rendu la tâche aussi difficile que grand-guignolesque. Car pour y arriver, quelqu’un aurait du se mettre à plat ventre, même pas à 4 pattes et s’étendre pour en tâtonnant essayer de les repérer avant de les en faire sortir. Ce type de meuble classeur bien que pas très haut, est en revanche très large et surtout très profond, d’où la difficulté et sans doute l’envie inavouée que se retrouvant là, ils étaient inaccessibles sans se donner de le peinne, comme s’ils n’étaient plus là ou dans une autre pièce. Les tissus en chutant et glissant dessous le meuble avaient cette fois fait un léger bruit assez ...