Ursula, coach très perso (2)
Datte: 12/11/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
médical,
amour,
volupté,
Oral
fsodo,
init,
journal,
humour,
... qu’elle utilise comme lubrifiant pour vous relancer. Rien qu’à cette évocation, alors que Marie-Gabrielle est assise en face de moi et me raconte ses premières fellations, je sens entre mes jambes mon sexe se dresser, excité. Mais je connais la fragilité de ces instants et sais que je suis sur la bonne voie de la guérison. En attendant cette complète et totale guérison, je glisse ma main dans la poche et vais toucher, empoigner mon sexe, raide et dur, non pour me masturber, mais juste pour le sentir palpiter dans la paume de ma main. Cela me rassure. Et sans quitter Marie-Gabrielle des yeux, je continue à l’écouter presque… béatement. Ma convive continue à se confier, en m’expliquant qu’au fur et à mesure de ce traitement, elle a repris confiance en elle et, finalement, avait le désir de retrouver dans son ventre les sensations qu’elle éprouvait dans la bouche. Et c’est comme cela, petit à petit, qu’elle a accepté de nouveau de recevoir un partenaire dans son sexe. Un sexe qu’Ursula l’aidait à reconquérir. Elle le lui a d’abord fait entretenir. Rasant les poils pubiens, apprenant à se le réapproprier, en se caressant elle-même, en introduisant ses doigts, en le fouillant, en l’explorant, en lui parlant. Elle avoue humblement qu’il lui a fallu du temps et de la patience pour arriver à mouiller de nouveau, puis à accepter d’abord un godemiché, avant qu’un homme puisse y introduire son pénis. Mais avant, toujours réticente, sans grandes convictions, après avoir appris d’Ursula ...
... les techniques de la fellation, elle avait aussi dû apprendre à se servir de tout son corps pour réveiller le plaisir et le désir. Ursula lui avait réappris les gestes simples de la caresse de ses seins. Les flatter, les empaumer, les titiller, faire friper les tétons, les saisir entre le pouce et l’index et tirer dessus pour éprouver du plaisir. Puis Ursula, exigeante, avait fait découvrir à Marie-Gabrielle l’emploi de son anus comme zone érogène et base de plaisir. Comme bon nombre de jeune femme, elle avait entendu parler ses copines de la sodomie. Mais là, les blocages étaient nombreux et antérieurs à son abandon. Elle avait toujours refusé cette pratique. Elle estimait que ce lieu n’était pas fait pour le plaisir mais avait juste une fonction organique. D’ailleurs, sa mère lui en avait parlé en termes plutôt dégradants pour la femme ! Mais Ursula estimait au contraire, que le corps de la femme est une merveilleuse machine qui permet de faire varier les plaisirs en jouant sur divers registres, dont celui de l’usage de la sodomie. Il semble qu’Ursula ait eu pas mal de travail pour faire avancer ses idées et surtout qu’elles soient mises en pratique. Mais, la patiente était docile, pleine de bonnes intentions. Et Marie-Gabrielle avait fini par accepter cette pratique, à la grande satisfaction de l’élu du jour. D’abord, il lui avait été demandé qu’il « joue » de la langue et des doigts pour la préparer au mieux à accepter son pénis qui avait, selon les dires de ma compagne, ...