Béa ou les début d'une docile
Datte: 25/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Fantasme ou vécu, c’est vous qui voyez. Dans toutes mes histoires, il y a une part plus ou moins grande de vécu. À vous à de trouver.Chaque fin de semaine, le vendredi, je rentre chez nous, chez mes parents enfin, chez ma mère. J’en profite pour ramener mon linge sale, ma mère fait toujours la lessive le samedi matin. C’est, un vendredi soir de janvier que je rentre et me retrouve devant la porte d’entrée fermée à clef. Je sonne sachant ma mère présente. C’est une belle jeune femme anglaise qui m’ouvre. Légèrement gironde, elle a tout pour elle, surtout un visage d’ange. Dès le premier regard, l’un comme l’autre, on sent une sorte de légère électrocution dans nos corps. En français, avec un accent gallois à couper au couteau, elle me dite que madame ma mère se trouve au salon. C’est, je crois pouvoir le dire, la première fois qu’une jeune femme me fait un effet pareil. Ma question était à savoir si cela était partager. Cette fille au pair me plaisait. Pourtant, je n’étais pas très porté sur la galipette, à l’époque, j’avais d’autres préoccupations. Je profite de cette soirée pour apprendre à connaitre cette jeune femme répondant au joli prénom de Béa.Le lendemain, le samedi, ma mère me demande si je porte toujours des slips. La question me semble aussi saugrenue qu’incongrue. Je lui demande la raison de sa question. Sa réponse me laisse bouche bée, elle n’en a trouvé aucun dans toutes mes affaires à laver, pas la plus petite trace. Et pourtant, il doit bien y en avoir cinq ...
... ou six ?!?! J’ai même pu lui dire les couleurs, oui j’aime bien en mettre de couleur, même si cela ne se voit presque pas.La semaine suivante, histoire de ne pas me faire engueuler par ma mère, c’est devant elle que je mets mes slips dans le panier du linge sale et l’un après l’autre. Le reste est dans le sac de toile. Résultat, au moment de les mettre en machine, il en manque UN, un rouge avec un petit diable dessus, rigolo hein ? Et ce n’est pas le plus propre, c’est même le plus sale. Oui, j’avais eu un léger souci. Ce qui éveille mes soupçons sur une personne du ménage.Un mois passe sans aucun souci. Le vendredi soir, je rentre chez nous comme d’habitude. La fille au pair, Béa, est restée pour le week-end, cela me fait une belle occasion de réviser mon anglais. En plus d’être mignonne du haut de ses 18 ans, elle est toujours aussi diaboliquement jolie. J’aime à discuter avec elle, sa culture est grande comme son intelligence. Ensemble, on parle souvent peinture, littérature et même de politique parfois, sujet bien ennuyeux s’il en est, mais surtout art au sens général du mot.Ce soir-là, je décide de lire un peu, j’avais acheté le dernier Goncourt. Le livre est bien, l’histoire prenante quand Béa entre dans ma chambre. Elle vient prendre mon linge sale pour le trier. Elle revient peu après me parler littérature. On devise un bon moment sur mon livre et son écrivain. Cela étant, un peu fatigué par une semaine particulièrement chargée, je décide de me coucher. Béa me laisse, ...