1. Béa ou les début d'une docile


    Datte: 25/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... je crois même déceler une petite pincée de regret quand elle me souhaita la bonne nuit.Le lendemain, ma mère entre dans ma chambre comme une tornade. « Et tes slips, tu comptes me les donner à laver quand ? » Me crie-t-elle. Ma réponse ne semble pas la convaincre quand je lui dis que je les mets dans le sac de toile à chaque fois que je me change. Soudain, un doute m’assaille, mes soupçons reviennent. C’est Béa qui est venue me prendre mon sac de linge sale, oh oh…Dans la matinée, ma mère profite d’une longue machine à 90 degrés pour faire ses courses en compagnie de Béa et elles en ont pour un bon moment. Je profite de cette absence pour faire un tour dans la chambre de la jeune femme. Après quelques minutes, je crie bingo, je venais de trouver ma voleuse de slip et sous son matelas, dans un repli du drap-housse. Sauf qu’il en manquait un de la semaine, un boxer bleu, celui avec le point d’interrogation. Je remis tout en place, l’air de rien. En fouillant encore, je découvre quelques livres, la plupart sont en anglais et aux titres évocateurs, genre, l’esclave du camionneur ou la chienne du président. J’avoue mon trouble. Là encore, je remets tout en place après une bien trop brève lecture.Dans ma chambre, je travaille un moment sur un projet de vacances en Amérique du Sud. Je dois me trouver un parcours hors des att****s nigaudes, loin des coins à tout triste (touriste) qui se gargarise de tout et de rien. Je déteste me retrouver au milieu de ces touts tristes. Pourtant, ...
    ... côté concentration, ce n’est pas le top. Les titres de cette dizaine de livres anglophones me tournent en boucle dans la tronche. Un surtout, dont la traduction en français du titre donne ; Éducation anglaise d’une jeune servante. Rien que le résumé m’avait fait bander et pourtant, il n’y avait pas de quoi, il n’y avait rien de cochon, juste des allusions.Béa et maman rentrent des commissions après deux bonnes heures. Peu après, ma mère file à la buanderie. Dans la cuisine, Béa range les courses, tout en préparant le repas de midi. Je lui demande, sous un faux prétexte de me rejoindre. Une fois dans ma chambre, je lui demande de regarder sur l’écran et de me dire ce qu’elle pense de ce projet de vacances. Le temps qu’elle regarde, je nous enferme discrètement et à double tour.« Dis-moi, mon slip bleu, il te va bien ? »« Votre slip bleu ? » Délicieux accent, j'adore !« Oui, mon boxer bleu, celui que tu portes, celui avec le point d’interrogation. Du reste, il dépasse derrière quand tu te penches ! Retire-le immédiatement !»« Mais… »« IMMÉDIATEMENT !!! » Le ton de ma voix était sans équivoque, brutal, autoritaire et un brin vicieux, je le concède.Je lui empoigne son bras, l’attire sur mon lit. Couchée sur le dos, j’ouvre son pantalon. Oh surprise, elle le porte sur elle, je tire dessus, elle grimace vilain. Coincée, découverte, coupable, elle se redresse, retire son pantalon, mon slip. Je me surpris à me montrer encore plus vicelard, lui enfonçant la partie (sale) de mon slip ...
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