1. Béa ou les début d'une docile


    Datte: 25/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... dans sa bouche. Maintenant, vu qu’elle est à moitié nue devant moi, je la couche sur mes cuisses pour lui administrer une bonne grosse fessée. Oh, elle ne proteste pas, elle ne peut pas. Elle pleure, certes, mais aucune protestation, aucune rage et aucun gros mot à mon intention, forcément, elle est muselée. À croire qu’elle la cherchait cette correction. Satisfait, je la relâche. Elle glisse sur le sol sans me regarder. À genoux, retirant mon slip de sa bouche, elle finit par s’excuser platement. Ne voulant pas que ma mère lui donne une autre engueulade, je lui conseille d’en mettre un par jour, au sale. Cependant, histoire de la tester et, aussi, de la bousculer un peu, je lui ordonne, sans trop y croire, de ne plus mettre de pantalon et encore moins de culotte. J’ouvrais la porte et lui montre la direction de sa chambre. Heureusement, ma mère n’était pas présente, Béa traverse l’appartement en tenant son pantalon à la main.Elle revient une bonne dizaine de minutes plus tard, en jupe, une jupe au-dessus du genou. Face à moi, je la lui fais soulever. De ses deux mains, elle la soulève lentement, pas de culotte, Béa rougit, la rendant plus attirante encore. Je caresse son sexe en la fixant, elle écarte légèrement ses cuisses. Elle mouille et pas qu’un peu. Sans que je ne le lui demande, elle serre le bas de sa jupe entre ses dents et croise ses mains derrière sa nuque. Ses yeux fermés me disent qu’elle apprécie mes caresses. Je plonge un doigt dans son sexe mouillé, Béa ...
    ... est encore vierge à 18 ans. Là, elle me fixe longuement, le visage tendre, ému, les joues un peu rouges par ma découverte. Je continue à masser son sexe. Très vite, les signes d’un orgasme apparaissent. Je l’achève en m’activant avec vigueur. Au moment suprême, ses yeux s’ouvrent pour me fixer. Elle a le visage défiguré par son plaisir qui explose déjà dans son corps. Son long soupir, son corps qui se tord, elle est magnifique, merveilleuse. J’attire son visage sur le mien, on s’embrasse tendrement. Ma main découvre l’intérieur de ses cuisses complètement trempées. Elle lèche encore mes doigts sans me quitter des yeux. Je la sais à ma merci, sans savoir jusqu’où encore.« Ce soir, dans ta chambre, sois prête ! »« Oui, Monsieur. »Sa réponse me renforce dans mon idée tordue. J’ai tapé juste, elle est amoureuse de moi au point de me voler mes slips sales et d’enivrer de mes odeurs en les respirant ou en les mettant. Ce que j’éprouve me dépasse. Il y avait un mélange d’amour et de perversité dans ma tête. Je ne sais encore comment me comporter, tendre et amoureux ou dur et dominant. Je crois qu’un peu des deux était un bon mélange, du moins au début. Et puis, sa réponse : « Oui monsieur », qui me tourne en boucle dans ma tête. Vers dix-huit heures, ma mère, avec l’une de ses amies, sortent manger en ville et aller au théâtre après, cela tombe à pic.Dès leur départ, je me suis rendu dans la chambre de Béa. Me voyant, elle sort mes slips de leur cachette, les respirant un à un en me ...
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