1. Béa ou les début d'une docile


    Datte: 25/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... elle, bien elle, je reste un moment sans bouger, qu’elle s’habitue à mon sexe et moi au sien si délicieusement étroit. Puis, toujours lentement, je m’active en elle. Ses bras m’enlacent, sa tête se redresse, cherchant ma bouche.« Je vous aime, Monsieur, soyez mon Maître, mon guide. »« Tu sais que je peux être sévère, même bien plus sévère que jusqu’à maintenant »« Peu m’importe, je ne veux plus que vous appartenir. »Je nous retourne, la mettant au-dessus de moi. Elle me chevauche, accélérant le tempo au fur et à mesure. Je me retiens, me souvenant de mes premiers amours avec cette collègue âgée d’une quarantaine d’année. J’en avais à peine vingt à l’époque. Béa gémit, son visage se déforme quand l’orgasme se fait jour. Elle roucoule de bonheur, un visage comme si elle souffre l’enfer. Elle explose pour se dissoudre dans l’espace intersidéral du plaisir. Plus elle jouit, plus elle veut encore jouir. Je la freine d’une paire de claque sur son opulente poitrine. Elle me fixe encore, un tendre petit sourire enjolive son visage et me tend ses seins de ses mains. Je les gifle plus fort, jusqu’à les rendre si rouge qu’il lui devient impossible de supporter la moindre caresse. Elle jouit encore plus violemment au moment où j’embrasse son cou, la mordille. Je finis par jouir sur son ventre jusque sous ses seins douloureux.Je l’achève d’une méchante fessée, elle ne crie pas, tout juste quelques larmes qui coulent sur son visage. Elle me remercie en léchant mes doigts, baisant ma main ...
    ... et se positionne à genoux à mes pieds, attendant la suite. La suite est vite réglée, je bande à nouveau devant cette fille si docile. J’attire son visage sur ma queue, elle me suce, parfois très maladroitement, cela lui vaut une gifle à chaque mauvais traitement sur mon sexe. Elle comprend vite, si vite que j’éjacule dans bouche sans pouvoir la prévenir. Elle tousse sans pour autant recracher mon sperme. Elle l’avale devant moi, la bouche ouverte pour que je ne manque rien du spectacle. Je caresse sa joue, lui disant qu’elle fera une bonne épouse si elle se montre toujours aussi docile.Et elle me le prouve. Depuis cette nuit, Béa ne rentre chez elle que très rarement, restant près de ma mère pour l’aider, surtout quand maman travaille le weekend et me servir de vide couilles. Je sais, ce n’est pas très glamour. Pourtant, si j’en crois sa très longue lettre, c’est ce qu’elle aime être sans oublier tout ce qu’elle voudrait vivre. Depuis, aussi, elle ne porte plus que des jupes ou ses petites robes légères, plus aucune de culotte enfin…sauf environ tous les 28 jours. Aussi, dans la semaine, généralement le jeudi soir, je m’oublie un peu dans mon slip, laissant les derniers gouttes ou ne m’essuyant pas totalement. Dès que je rentre, dans le dos de ma mère, je fais venir Béa pour le lui donner. Devant moi, à genoux, elle le sort de son sachet de plastique, émerveillée, elle le hume, lascive, s’en caresse son sexe, dépravée, ses seins, immorale, son visage, passionnée, sa bouche, ...
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