Béa ou les début d'une docile
Datte: 25/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... sale dans son anus, le nettoyant bien par des aller et retour, après quoi, c’est mon cul que je nettoie en profondeur. Enfin, ladite culotte vint museler Béa pendant que je fustige son popotin à grands coups de ceinture avant de m’enfoncer en elle. Autant elle que moi, nous prenons un pied d’enfer dans nos parties de baise. Plus nous prenons du plaisir, plus on a envie d’en faire plus, de pousser plus loin nos jeux, nos joutes sexuelles dans le vice corrompu et immoral. Avec sa culotte dans son anus, Béa aide ma mère, sa démarche ressemble à celle d’une oie ou d’un canard.Après avoir terminé son temps comme fille au pair, je la prends chez moi, dans mon modeste appartement de trois pièces. Nul besoin de chantage pour la faire venir, juste un ordre sec et sonnant. Depuis, elle tient mon appartement toujours propre comme un sou neuf. Toujours prête à me satisfaire en tout temps, oui, même durant ses menstruations. La première fois, je l’avoue, je pris ça comme un magnifique présent. J’en ai été ému, mes ex me disaient que c’était impossible, douloureux même.La journée, elle déambule nue dans l’appartement, ne portant qu’un soutien-gorge pour préserver sa belle poitrine. Parfois entravée pour faire le ménage, les repas, elle ne rechigne jamais à la tâche, une véritable fée du logis. Si je la punis, c’est parce qu’elle faute, jamais juste pour mon plaisir, si, parfois, mais toujours un plaisir partagé alors. Notre vie est heureuse, mais va changer.Cela dure un an avant que je ...
... ne revienne vivre près de ma mère, avec Béa ce, après le décès de la meilleure amie, complice libertine de ma mère. Avant de pénétrer dans l’appartement, je mets, à Béa, sa laisse et lui laissait le soin de sonner, sa robe ouverte, dévoilant sa nudité docile. Ma mère ouvrit la porte, resta plantée là de stupeur devant Béa à genoux, les mains sur la tête. Une fois dans le salon, d’un claquement de doigt, Béa retira sa robe, dévoilant croupe zébrée par ma ceinture à maman. Je lui expliquais l’histoire de mes slips, Béa confirme en s’agenouillant et baisant les pieds de ma mère en signe d’excuse, mais pas que, d’allégeance aussi.Le jour même, je mets Béa au travail, nettoyant tout l’appartement comme un grand nettoyage de printemps. Parfois, je la suis, lui claque son postérieur quand ce n’est pas assez propre. Maman n’avait rien à faire d’autre que de la regarder faire et la fesser si c’était mal fait.Le soir même de notre retour, une petite mousse en trop dans le cigare, je pousse Béa entre les jambes de maman. Ni l’une, ni l’autre, elles n’avaient jamais fait ça devant moi et moi, je crevais d’envie de voir Béa faire jouir ma mère. Maman me fixe, presque horrifiée, cachant bien son jeu, son amie et elle copulait ensemble et dans mon dos. Elle oublie que j’étais au courant de ses petites aventures nocturnes. L’ordre rompt durement le silence de plomb le court instant d’un silence de plomb et Béa se met à l’ouvrage entre les jambes de ma mère pétrifiée, paralysée. Peu à peu, ...