Enfer ou Purgatoire ?
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
f,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
confession,
... le polonais, avec son air con et son gros bide mais putain quelle force. Soudain, je ne sais pourquoi mon regard se porte sur son entrejambe. Et là, mon dieu, une énorme bosse déforme son cycliste. Mais quand je dis énorme, c’est vraiment énoooorme ! Hypnotisée, je reste comme une conne et le regarde forcer, les yeux rivés sur sa bite de cheval. On dirait même que le gland dépasse à mi-cuisse. C’est impossible ! Je dois fantasmer. Je vois sa queue porter à droite le long de sa cuisse, au repos elle vaut bien des bites que j’ai pu voir bandées ! Mon ventre a rendu les armes, je le sens me chatouiller, il se crispe littéralement sous un incendie dévastateur. Beledni ne m’a pas vue, ou fait mine de ne pas me voir, ou me trouve insignifiante, ou n’en a rien à foutre. Crack ! Un de mes sacs s’est littéralement éventré, ma bouteille de rouge n’a pas survécu, merde ! Elle est explosée au sol au beau milieu de mes victuailles fraîchement arrosées de Merlot 2005, s’il vous plait. Instantanément, je retrouve mes clefs accrochées au fond de ma poche et dont je me rends compte qu’elle est trouée. Vite ! Vite ! J’ouvre la serrure, je pose mes affaires et fonce dans ma petite cuisine. Un seau, une serpillière. Quand je reviens sur le palier l’éthylène a envahi l’atmosphère. Ouah, j’accuse le coup, je vais être saoule juste en nettoyant mes catastrophes. Je pousse le reste des affaires du sac en dehors de la nappe de vin et commence à balayer les morceaux de verres à quatre pattes. Beledni ...
... m’a vu. Bon sang ! Je me sens rougir comme une idiote. Il a arrêté ses exercices, s’est assis sur son banc et s’amuse de me voir galérer dans le vin et le verre brisé. J’en ai fini avec le verre. Je passe la serpillière comme je peux et pour le coup, je dois lui donner un beau spectacle. Obligée de me tourner vers lui, mon activité et ma jupe trop serrée exagère ma cambrure. Je me sens trembler de désir et mouiller comme une folle sous son regard. Que m’arrive-t-il ! Merde ! Je débloque ou quoi ? Ma petite chatte est toute ouverte, je le sens. Aïe ! Un morceau de verre que je n’avais pas vu, je me suis salement coupée la main. Je me redresse complètement soufflée par ma libido qui me brûle le ventre et les effluves d’alcool qui me montent à la tête. J’en ai le tournis. Quelqu’un est derrière moi. Je sais que c’est lui, je me retourne et vois… Sa femme ! — Tu vas tout nettoyer et vite ! me dit-elle avec son accent de merde et sur un ton qui ne laisse pas d’alternative. Putain la harpie, dans son tablier pourri ! Je n’en reviens pas. Je suis toujours à quatre pattes et dans cette position ridicule, j’ai le visage au niveau de ses genoux ! Sans rire, à cet instant, Cendrillon est une princesse à côté de moi. En arrière-plan, Beledni dit quelque chose en polonais auquel je ne comprends rien du tout et reprend ses exercices. Sa femme est devant moi, les mains sur les hanches, me foudroyant du regard. Elle met un coup de pied rageur à mon pauvre seau et repart dans son appartement ...