La binoclarde
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
poilu(e)s,
Masturbation
Oral
nopéné,
... qu’il me plaît, parce que vous me plaisez, parce vos seins sont très jolis et qu’ils me plaisent, lâchai-je tout de go " Elle reste coite, nous allions sortir. — " Je suis content d’être avec vous et de vous faire plaisir, car en fait il vous plaît, ce tricot ? "— " Mmmmoui "— " Et bien, retournez dans la cabine, et mettez-le "— " … " Docile, elle fait ce que je dis, et revient, encore un peu gênée. Nous avançons dans la galerie. Certains regards d’hommes se posent sur elle. Elle sent. Je la prends par le bras. — " Alors, vous voyez, ça va… "— " Oui ", répondit-elle avec une petite voix.— " Il fait beau ce soir… Où dînez-vous ce soir ? "— " Ben, comme d’habitude "— " Excusez-moi, mais je ne connais pas vos habitudes "— " Ben, chez moi "— " Loin ? "— " À 5 minutes de chez vous " Elle était embarrassée par le sac contenant sa blouse. — " Je vous raccompagne, on pose le sac chez vous puis je vous invite à dîner. Vous connaissez le petit resto des cheminots ? "— " Non "— " Vous verrez…, c’est rue Flégier, presque au coin du boulevard National . Je vous ramène, puis je vous attendrai là " Je la raccompagne, la laisse et vais vers le resto… * 19h, la nuit d’automne arrive. Il fait encore chaud. Je l’attends sur le trottoir faisant les cent pas. Elle arrive. Elle a arrangé son minois et, mieux coiffée, souriante elle est maintenant tout à fait avenante pour un œil averti (le mien en l’occurrence…). Nous dînons comme si nous étions de vieux amis. Elle s’est vraiment décoincée. ...
... Nous nous tutoyons. Au dessert, un peu pompette (elle n’avait guère l’habitude de boire, pourtant j’avais fait attention à ne pas forcer les doses) elle en vînt aux confidences, mais retenues. Toutefois, par petits bouts, j’arrivai à reconstituer une histoire. Gamine avec des parents peu ouverts, étudiante elle était restée sur ses gardes. Quelques amies et amies, mais guère d’exubérance. Des petits flirts avec les maladroits, dont le pire était celui qui l’avait déflorée sans poésie ni tendresse. Ce mec était sûrement comme d’hab, comme la plupart de nous autres : balourd… et je dis ça avec conviction parce moi aussi j’ai mis longtemps à être attentif à mes copines… Je lui livrai en retour mes confidences : célibataire (redevenu…), sans enfants, déniaisé par une amie de ma mère, devenu vadrouilleur après quelques échecs douloureux, libre d’attaches, j’étais disponible mais vu mes fréquents déplacements je n’avais pas envie de nouer de relation stable. Prêt pour un gentil épisode, mais pas plus. Avertie, elle était… Le repas fini, sur le trottoir je lui prends le bras. — " Martine, je te ramène "— " OK ", sourit-elle se tournant vers moi, s’accrochant à mon bras. Boum, la sentant tout contre, mon sang ne fit qu’un tour et dans ma braguette cette vive réaction qui, comme je le craignais, allait handicaper ma marche… Ainsi, embarrassé trottinant à petits pas, de mon bras je la presse contre moi. Elle se laisse faire. Réponds même à ces petites avances me rendant pression pour ...