La binoclarde
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
poilu(e)s,
Masturbation
Oral
nopéné,
... pression… Allant vers chez elle, nous arrivons à la Rotonde, petit espace circulaire un peu planté. Nous le traversons… Un banc… — " Martine, il est encore tôt. Il fait encore bon. On s’arrête un peu ? "— " Oui ", fit-elle d’une petite voix, petite sans doute mais affirmée, ne laissant augurer que du bon… Sur un banc, loin du réverbère, presque cachés, je la serre doucement contre moi. — " Je ne m’attendais pas à ce qui se passe ce soir, Martine "— " Moi non plus "— " Tu sais que sous ces airs que tu veux godiche, tu es une belle petite ? "— " … "— " Tu as le tricot, j’ai vu que tu t’étais arrangée chez toi avant le resto, reste les lunettes maintenant "— " Mais je suis obligé de les garder, je suis très myope "— " Tout le temps ? dans ton bain ? "— " Presque… ", répondit-elle en riant.— " Oh ! tu viens de déclencher mon imaginaire… "— " Qu’est-ce que tu veux dire ", ose-t-elle— " Je t’imagine avec seulement tes lunettes "— " ? ? ? "— " Je veux dire rien qu’avec tes lunettes… "— " … "— " Toute nue ", je lâche, craignant aussitôt d’avoir trop parlé…— " Tu es fou ", répondit-t-elle avec un petit sourire— " Fou de toi, c’est la réponse classique ", dis-je, me tournant vers elle et l’embrassant, tout en la serrant d’un bras. Elle se laisse faire, puis participe, sa langue répondant à la mienne. La coquine ! elle cachait bien son jeu ! De tels premiers instants sont toujours magiques, surtout quand comme celui-là ils en ne résultent pas d’une stratégie. — " Tu es belle ", lui ...
... dis-je à l’oreille, " je suis fou de tes seins ! comme le divin Marquis, je dis : pourvu qu’il y ait de quoi remplir la main d’un honnête homme… "— " Tu es fou… "— " Tu l’as déjà dit ", répliquai-je glissant ma main libre sous ce tricot nouveau, finalement pas si serré que ça… Je rencontrai un de ses petits chapeaux chinois. De l’index, je fis sortir du bonnet un téton dont je pus ainsi apprécier l’érection. Je n’insistai pas, et baissai cette main pour arranger ma queue gonflée tant bien que mal au creux de mon aine… et ce ne fut pas sans peine à travers le jean ! Nous nous embrassions goulûment, comme si notre vie en dépendait. D’un bras, elle s’accrochait à mon cou, de l’autre elle me serrait la taille. Ma main revînt sur un nichon, mais tout d’un coup, je me mis à penser à ses cuisses. Baissant les yeux je les vis s’écarter lentement. Etait-ce afin que je puisse me rapprocher de l ’endroit le plus chaud ? Pourtant prise dans son jean, il était évident qu’aller plus loin était bien difficile, surtout dans cette situation impromptue, là sans véritable intimité. Action instinctive mais utopique ! bon… Ainsi, je lâchai son nichon pour aller doucement pétrir sa cuisse, tandis que de l’autre main, je descendais de son cou vers ses reins. De la peau au-dessus de sa ceinture, mais là aussi, pas moyen d’aller plus loin plus bas … trop serré ! Coincé de partout… Pétrissant toujours sa cuisse, je me rapprochai néanmoins de là où elles se joignent. Nous nous embrassions toujours ...