Les aventures de Marie - Histoires de Sexe

Les aventures de Marie

... lumière s’éteignit je l’ai serrée dans mes bras, prétextant que nous avions trop bu nous aussi, ce qui n’était pas tout à fait faux, et que nous devions nous soutenir. J’en ai profité pour caresser discrètement ses fesses, suivant de mes doigts le bord de sa culotte : — Tu ne mets pas de string ? lui demandai-je.— Pas aujourd’hui, me répondit-elle et elle me serra un peu plus fort concluant : tiens-toi bien ! Mes mains glissèrent sous son top et caressèrent son dos, jouant avec l’attache de son soutien-gorge qui finit par se décrocher. — Tu es insupportable, me dit-elle sur un ton qui me parut ne rien me reprocher.— Je vais te le rattacher, lui dis-je glissant auparavant mes mains sur ses côtés pour venir soupeser ses seins.— Veux-tu être sage ? murmura-t-elle sans me repousser. J’attachai tout de même le soutien-gorge et revins à ses fesses. — Je suis certaine que ce serait mieux sans ! lui murmurai-je à l’oreille suivant à nouveau sa culotte. Me baissant d’un coup sur mes talons, mes mains remontèrent sous sa jupe, saisirent la culotte et la tirèrent vers les chevilles. — Lève ton pied, l’autre, lui dis-je sans qu’elle fit seulement mine de m’en empêcher. Je fis une boule de ce sous-vêtement. — Elle est toute mouillée ta culotte, coquine.— J’ai chaud, j’ai dû transpirer, se contenta-t-elle de répondre. Mes mains sur ses fesses ne rencontraient plus d’obstacle. — Même sans lumière, tu es plus belle comme ça. Ses mains vinrent à leur tour sur mes fesses. — Et toi, tu n’as ...

... pas de culotte ?— J’ai un string, lui répondis-je.— Je vais te l’enlever aussi, nous serons à égalité, me dit-elle tranquillement. Et sitôt dit, sitôt fait. Sûre d’elle, elle ne se baissa même pas, souleva ma jupe, saisit mon string et le descendit. Je dus finir de l’enlever moi-même et je le lui donnai. — Il est bien mouillé aussi, constata-t-elle.— On va les garder en souvenir, lui proposai-je. Et nous les glissâmes dans la ceinture de nos jupes avant de les déposer tout à l’heure dans nos sacs. Nous ne dansions pas, nous étions collées, nos mains sur les fesses ou sur le dos de l’autre. — Tu n’as pas de soutien-gorge, constata-elle lorsque ses mains glissèrent sous mon t-shirt. Ses mains vinrent empaumer mes petits seins. — Pas besoin, constata-elle. Nous étions toujours enlacées, les mains de Claire ne quittant pas mes seins, agaçant de ses doigts leurs bouts dressés. — J’aime tes petits seins, me dit-elle, j’adore sentir le bout tout dur. J’étais bien, une fille caressait mes seins et il était maintenant évident que j’allais la bouffer. Joue contre joue, nos lèvres se trouvèrent, se picorèrent. — On a trop bu, entendis-je avant que sa bouche ne s’ouvre et que nos langues ne se mélangent pour un baiser bref mais qui augurait bien d’une suite intéressante.— Tu exagères, se plaignit-elle avant de revenir m’embrasser.— Attention ! La lumière va revenir, annonça le DJ. Nous reprîmes nos esprits et une attitude décente, dansant comme deux filles peuvent le faire dans une soirée ...