1. Les aventures de Marie


    Datte: 26/07/2021, Catégories: ff, jeunes, copains, jardin, danser, fête, école, voiture, odeurs, Oral Lesbienne fbi,

    ... l’orgasme arriva. Elle remonta et mon doigt entreprit de lui donner un peu de plaisir. Des couinements, gémissements se firent entendre. — Vous êtes malades, insista Paul.— Non, c’est Claire qui rêve, répondis-je, accentuant mes caresses. Paul connaissait maintenant les raisons de ces plaintes que Claire retint de moins en moins, ses doigts ayant entrepris de me rendre les mêmes caresses. Quel voyage ! Ce pauvre Paul ? Cocufié par sa cousine, en sa présence ! Et il n’a rien vu. Il n’avait vraiment rien vu car j’ai reçu un jour un appel de lui, plusieurs mois plus tard, disant : — Marie, je pars en déplacement pour la semaine et j’ai peur que Claire ne soit pas rassurée, seule dans notre grande maison. Elle m’a dit que vous aviez bien sympathisé le jour du mariage et qu’elle t’appréciait beaucoup. Si ça ne t’ennuies pas, passe la voir ; tu peux même dormir chez nous si tu veux. Tu penses si je veux ! Je me suis précipitée chez eux et je me suis surtout précipitée sur Claire, ravie de mes assauts. — Je ne comprends pas l’attirance que j’ai pour toi, me dit-elle, il n’y a que les hommes qui m’intéressent. Il m’arrive de tromper Paul, mais toujours avec des hommes. Je ne supporte pas les lesbiennes et j’adore pourtant ce que l’on fait ensemble. Je la vois deux ou trois fois par an, toujours dans les mêmes conditions. §§§§§§§ Elle nous raconta aussi une aventure récente à la Fac : — Nous étions en TD, travaillant en binôme, installées à la paillasse située dans le coin de la ...
    ... pièce. Passant derrière elle je me collai un peu, posai une main sur sa fesse sans qu’elle réagisse. Elle avait une mignonne mini-jupe sous laquelle j’avais bien envie de rendre une visite. Me baissant pour attraper des appareils sous la paillasse, je glissai ma main, côté intérieur de son genou, faisant mine de me cramponner pour aller plus loin dans ce placard. Me redressant, je fis glisser ma main plus haut entre ses cuisses qu’elle se contenta de resserrer sans faire de commentaire, me gardant prisonnière. Je ne pouvais donc pas me relever et attendis que l’étau de ses cuisses se relâche, ce qui ne tarda pas. Évidemment, je n’enlevai pas ma main mais au contraire allai caresser sa petite culotte. Lorsque je fus debout, son regard chercha le mien :— Qu’est-ce qui te prends ? murmura-t-elle, feignant d’être outrée par mon attitude.— Enlève ta culotte, lui répondis-je. Ses yeux s’arrondirent mais elle s’exécuta, laissant tomber celle-ci sur ses pieds. Je me baissai, la ramassai et la glissai dans mon sac. Le prof l’interpella, lui rappelant qu’elle devait maintenant nous faire un exposé. — Non ! Reste à ta place, lui dit-il alors qu’elle s’apprêtait à le rejoindre sur l’estrade. Marie te passera les instruments. Et elle commença. Je me baissai alors, pour chercher les appareils qui allaient lui être utiles, mais aussi parce que j’avais ma petite idée. Ma main se faufila vers ce sexe dont j’avais envie et qui n’était plus protégé. Elle serra ses cuisses mais mes deux mains, l’une ...