1. Les aventures de Marie


    Datte: 26/07/2021, Catégories: ff, jeunes, copains, jardin, danser, fête, école, voiture, odeurs, Oral Lesbienne fbi,

    ... familiale. La lumière revenue nous dûmes constater que Paul était encore dans les bras de Morphée. — Je crois qu’on devrait prendre l’air, me dit Claire,— Ça nous réveillera. Et nous sortîmes. Il faisait beau, la lune éclairait faiblement le parc du restaurant et nous marchions main dans la main. Nous trouvâmes un banc au bout d’une allée et je ne sais laquelle des deux entraîna l’autre pour s’y asseoir. Une envie partagée et simultanée nous fit nous enlacer, nous embrasser, nous caresser. Ma main, sur le genou de Claire, remonta entre ses cuisses qu’elle écarta en se plaignant : — Tu exagères. Je sentis bientôt les poils sous mes doigts et je fis durer le plaisir avant de chercher à me glisser en les écartant pour aller me faufiler dans ce sexe dont j’avais envie depuis tout à l’heure. Claire eut un sursaut mais ne me repoussa pas. — Tu tripotes les filles ? m’interrogea-t-elle.— Seulement celles qui veulent bien, lui répondis-je, et tu ne m’as pas dit non. Et un peu plus tard : — Touche, lui dis-je, amenant sa main entre mes cuisses. Ses doigts s’insinuèrent dans mon intimité. — Tu es toute mouillée, constata-elle.— Toi aussi, lui répondis-je avant de l’embrasser à nouveau. Nos doigts fouillaient nos sexes, agaçaient nos clitoris ; nous étions bien. — Allonge-toi sur le banc, écarte les jambes et laisse-moi faire. Elle ne se fit absolument pas prier et je plongeai mon visage dans ce sexe, ma langue trouvant rapidement le point sensible. — C’est pas possible ! Je vais ...
    ... jouir, bouffée par une fille ! J’y suiiiis ! gémit-elle. Lorsqu’elle eut retrouvé ses esprits, nous nous levâmes pour rejoindre la fête, notre absence prolongée pouvant être remarquée. — Tu exagères ! Qu’est-ce que tu m’as fait faire ? Tu as profité que je sois un peu ivre pour abuser de moi. Et que va dire Paul ? me reprocha-t-elle.— Tu n’es pas obligée de le lui dire ! Il n’aura même pas remarqué que nous étions sorties. Tu n’as pas aimé ? lui répondis-je.— J’ai adoré, c’est pire, puis : viens, on va boire une coupe de champagne, dit-elle, partant en courant. En fait d’une coupe nous bûmes plus que de raison, nous mêlant aux danses et aux jeux qui terminent en général les repas de mariage, heureuses, doublement euphoriques du fait de l’alcool et de ce que nous avions vécu. Entre temps, Paul avait refait surface. Il avait bu plusieurs verres d’eau et était maintenant en pleine forme pour reprendre la voiture. Il vit bien que nous n’étions pas dans notre état normal aussi il nous installa toutes les deux sur la banquette arrière, couchées en travers. Dès que nous eûmes pris la route et que Paul crut que nous dormions, nous recommençâmes à nous tripoter. Claire rampa pour glisser sa tête sous ma jupe. Elle voulait me rendre la monnaie de ma pièce. — Vous êtes malades ? questionna Paul nous entendant bouger.— Ça ira, répondis-je, car Claire ne le pouvait plus, sa bouche ayant trouvé ce qu’elle cherchait. J’eus beaucoup de mal à retenir les gémissements qui vinrent à ma gorge lorsque ...