Innocence de la toute première fois...
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
init,
... lascifs qui doivent apparaître naturels et que je calcule, millimètre après millimètre… Ne jamais forcer ni brusquer… Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois… Il m’a fallu du temps, de la patience… pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n’étais sûr de rien et en connaissais encore moins. Pour Elle, qui était moins sûre que moi et devait être rassurée, réconfortée tout en cachant son impatience. Pour nous deux, c’est la toute première fois, attendue par l’un, espérée par l’autre et redoutée par les deux… Et si cela ne fonctionne pas, ne marche pas… et si… Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s’électrisent. Ma main descend sur son cou… défait lentement ce fichu nœud et s’immisce doucement dans l’entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d’une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ? Les mécanismes humains sont pleins de ressources imaginatives, inventives et surtout adaptatives, sauf devant la fermeture d’un soutien-gorge. Empoté ! Voilà un des rares qualificatifs que je retiendrai toute ma vie (et encore aujourd’hui) face à cette invention du diable qu’est une fermeture de soutien-gorge et l’assimile à une véritable ceinture de chasteté des temps modernes. Rires forcés, rougeur au visage… pas besoin de me mentir, lui raconter que je ne comprends rien à la ...
... technologie, pas besoin de lui préciser que je n’y ai jamais rien compris… Le baiser cesse, le buste s’avance, des mains fines, les doigts encore ornés de quelques taches d’encre d’un travail scolaire en cours et suspendu… Les doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur et difficultés sous le coup de son émotion, tirent nerveusement sur les pans du chemisier qui s’ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d’un buste, barré par les bonnets blancs opalescents à la limite de la transparence et laissent voir des seins comprimés, des bouts rosâtres bruns, malmenés, aplatis par le tissu et l’armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, qui vient de me sauver d’une situation un peu (totalement) ridicule, ou les épaules nues, légèrement en avant, un peu dodues, ou avec un rapide coup d’œil d’envie et de désir vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi ! Voilà ! Les seins sont libres ! Regard obnubilé, presque hagard ! Se reprendre… Faire comme si on en avait déjà vu d’autres (mais pas trop… et plutôt en photos qu’en réalité)… Et comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Dessiner des arabesques, tordre le bout ? Non. L’embrasser et reprendre là où l’on en était avant… Câlinement, amoureusement ses lèvres recollent aux miennes… Ma main, plus affermie mais toujours avec timidité, effleure avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, ...