Mathilde, ma belle-mère (3)
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
Hétéro
... poitrine, alors à mon tour je lui rendis son hommage. — C’est quand même bon d’avoir par-ci par-là le baiser d’un jeune homme. Bon, je vous fais un thé et je vous laisse, il faut que je fasse des courses, je vais revenir dans une heure et demie, j’espère que vous aurez le temps de traiter votre affaire confidentielle, ajouta-t-elle d’un air entendu. Je viens de changer la literie. — Merci, il ne fallait pas, répond Mathilde. — De toutes façons il fallait le faire, Nous bûmes ce thé tranquillement et sitôt Greta disparue, nous nous jetâmes l’un sur l’autre, comme des loups affamés, pantalon, jupe, caleçon, culotte, soutien-gorge tous nos vêtements giclèrent dans la pièce et nous nous retrouvâmes vite nu comme Adam et Eve sur le lit dans une chambre surchauffée. — Il fait bon, elle a pensé à tout notre brave Greta, me dit Mathilde, comment la trouves-tu ? — Elle a l’air sévère, mais je pense que cela doit être une bonne coquine. Pourquoi vit-elle seule ? — Je crois qu’elle a eu une déception amoureuse dans sa jeunesse et du coup elle a pris l’habitude de vivre en solitaire, mais elle est très gentille. Très rapidement, on s’est retrouvé en 69, vu l’impatience marquée par l’abstinence. Mais avant de plonger ma tête vers ma fente adorée, je ne pouvais détacher mes yeux de son beau gazon, bien entretenu et luisant de bonheur. Elle n’a pas attendu si longtemps et s’est jetée goulûment sur ma saucisse surchauffée par ce week-end qui m’avait laissé frustré. Je sentais qu’elle aussi ...
... en voulait, une cyprine abondante suintait de son sexe, une vrai crème de jouvence que je lapais à la manière d’un chiot lapon. — Viens en moi mon chéri, je ne peux plus attendre que tu visites profondément ma grotte, elle n’en peut plus d’attendre. — Moi aussi mon amour, nos promenades avec Lucette me laissent toujours sur ma faim. — J’espère bien, mais je me sens un peu triste en pensant à ton mariage prochain qui marquera la fin de nos galipettes. — Mais... — Il n’y a pas de mais, je ne ferais pas cocue ma fille. Coucher avec son fiancé, c’est déjà limite, mais avec son mari, ce serait trop déloyal. — Mais c’est pas possible, je t’aime trop, j’ai besoin de ton corps et de ton amour le plus longtemps imaginable. — Non c’est comme cela. Mais ne perdons pas de temps et baisons pendant que c’est possible. Pour la dernière fois, je te ferais un cadeau que tu attends depuis longtemps. Sur ce, je ne peux me retenir et par dans une longue série d’éjaculation qui lui remplisse le con. — Déjà ? Me dit-elle — Excuse-moi, mais cette attente longue a fait déborder le vase. Mais on a encore du temps, je vais m’occuper de ta poitrine que je n’ai pas trop câliné. — Tu as intérêt à reprendre des forces, moi, je n’ai pas eu ma ration de pain quotidien, j’ai encore faim de toi, je ne suis pas rassasiée, mais avec tout ce que tu m’as mis, je vais faire une petite toilette pour ne pas trop salir le lit, ça coule à grosses gouttes. Comme elle se lève, me présentant son derrière pratiquement sous ...