1. Mathilde, ma belle-mère (3)


    Datte: 27/07/2021, Catégories: Hétéro

    ... le nez, je ne peux m’empêcher de la prendre par les hanches et de lui coller ma bouche sur son cul pour lui lécher sa petite rondelle. — Humm elle est délicieuse ta petite rondelle, avec encore le parfum de la journée. — Cochon, c’est trop bon, mais je vais quand même me rafraîchir. — Je t’accompagne. — Ah je trouverais bien le chemin toute seule, dit-elle en riant — J’insiste, je ne veux pas perdre une minute de ta présence. C’est ainsi qu’elle se retrouve sur le bidet en s’aspergeant la moule éliminant les traces que j’avais laissées dans son vagin. Je vois mes enfants virtuels partir avec l’eau du bidet. aghabbou — C’est un peu triste de voir sa progéniture théorique partir de cette façon. — C’est pas pire que de venir la manger sur ma tirelire. — C’est vrai, mais également ton parfum et goût sont maintenant très dilués. — J’ai envie de faire un petit pipi, je ne vais pas m’essuyer si tu veux. Me dit-elle mutine. — Oui, mais j’aimerais que tu me pisses sur la main. . Tu ne veux pas plutôt sur la langue, ce serait plus direct. Allez viens me lécher la moule qui est fort impatiente de tes soins et je te ferai ce petit plaisir supplémentaire très cochon. C’est ainsi que je retrouve à genoux devant mon idole, assise sur le rebord du bidet et me présentant sa balafre avec son urètre frémissante. Je tends ma langue en sa direction et lui dit : — Vas-y, je suis prêt pour te boire. Et là, je sens sourdre les premières gouttes de son urine qui viennent frapper ma langue, envahir ...
    ... mon palais, j’aime cette odeur et goût très épicés, la force du jet est de plus en plus violent me forçant à avaler cette pluie dorée. Du coup, cette situation inhabituelle m’excite au plus au point et je me retrouve avec à nouveau la queue bandée comme un âne en rut. — Je vois que notre petit intermède t’a redonné des forces. Viens, on retourne au lit, mais cette fois, c’est moi qui vais aller sur toi, en position de Cassandre. Je me couche sur le dos, bien docile et elle m’enjambe pour se placer à la verticale de mon pal qui finalement s’enfonce dans son con. Là, on sent qu’elle en veut, c’est un vrai rodéo, avec moi dans le rôle du cheval sauvage et elle dans celui du cow-boy dompteur. Elle ne se laisse pas désarçonner, elle part bientôt dans une sarabande endiablée, ses seins sont comme des hochets au fil des enfilades. Montant et descendant sans arrêt. Comme j’ai déjà vidé une fois ma ration de gonade, je reste stoïque devant les éléments qui se déchaîne et laisse passer l’orage. D’un dernier coup de rein, elle explose dans une gerbe de jouissance et s’affale sur ma poitrine épuisée par sa chevauchée sauvage. — Ah Dieu que cela fait du bien, j’en avais vraiment besoin. Laisse-moi à mon tour un peu de temps pour récupérer. — Mais quand je serai marié, tu vas faire comment quand tu en auras besoin ? — Ne me parle pas de malheur maintenant, mais tu sais, les bonnes résolutions, c’est souvent celles qu’on oublie le plus rapidement. — Tu me rassures. — N’y compte cependant pas ...