Mathilde, ma belle-mère (3)
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
Hétéro
... trop. — Dring, Dring fait la sonnette d’entrée — Zut déjà de retour ? Dis-je en enfilant mon slip Je vais voir. Je glisse mon œil inquiet dans le vasistas et vois que ce n’est pas notre hôte mais une charmante jeune fille qui sautille dans l’escalier. Discrètement je me retire sans bruit et retourne dans la chambre. — Fausse alerte, je ne sais pas qui c’est, c’est une jeune fille très jolie. — C’est probablement sa nièce. On va faire silence radio et continuer nos galipettes, me dit-elle en collant ses lèvres sur les miennes encore enduites de son parfum et de son urine. — Hum ta bouche n’a pas le goût habituel, on sent que je t’ai inondé la luette. Viens sur moi, j’ai encore envie d’un deuxième round. C’est ainsi qu’on a passé le reste du temps imparti en passant de la cuillère, à la fourchette sans oublier le couteau, position non répertoriée dans la bible du bon baiseur le Karma-sutra. On a regonflé à mort nos chats krakra pour la semaine. Quant au bout de deux heures, Greta revient, les bras chargés de ses commissions, faisant un minimum de bruit et elle vient dans la chambre et nous trouve endormis dans les bras l’un de l’autre. — Oh le charmant tableau. Fait-elle d’un air coquin, admirant nos nudités en voyeuses ...
... avertie. — On ne t’a pas entendu rentrer. — Normal, vous étiez endormi, dit-elle en respirant fortement, ma chambre est remplie d’un parfum qui va m’obliger à ne pas aérer un moment. J’en suis toute remuée, des tas de souvenirs resurgissent dans ma tête. Je pense cependant, qu’il ne faut pas vous mettre trop en retard. — Au fait tu as eu de la visite cette après midi, une charmante jeune fille, mais on a joué au mort. — Vous avez bien fait, ma nièce n’a pas à savoir que j’abrite des amours coupables. Après une nouvelle tasse de thé et des effusions déchirantes de séparation, je quitte les deux commères, ne voulant pas partir simultanément. Le dimanche, je vais faire ma cour habituelle à ma fiancée et rebelote, on va se promener dans les bois, mais cette fois-ci, à force de caresser sa culotte, elle me permet de passer dessous pour avoir un contact plus direct. En léchant mes doigts imprégnés de sa liqueur intime, je remarque qu’elle a presque la même odeur que sa mère, en moins concentré, ce qui augure une bonne suite au mariage, mais comme d’habitude, je m’en retourne à mes études, la queue entre les jambes, comme un renard qu’une poule aurait pris, enfin, dans ce cas-là, une jeune fille m’aurait pris, moi le renard.