1. Plaisirs au harem...


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fh, fffh, couleurs, asie, couple, collection, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    Contrairement à d’habitude, je ne vous dresserais pas aujourd’hui le portrait d’une femme qui peut éprouver un plaisir solitaire intime, dans un lieu inhabituel. Non ! Aujourd’hui, je voudrais tracer le portrait d’un homme, enfin, d’un Être qui consacre sa vie, toute sa vie, aux femmes. Au cours d’un de mes nombreux voyages à travers le monde, je me suis arrêté dernièrement, dans un petit sultanat du Moyen Orient, à l’invitation amicale du jeune Sultan qui y règne. Les quelques touristes qui viennent là, disent que c’est encore un des rares paradis terrestre. Situé en bordure d’une mer chaude, toujours vert émeraude, les jardins y sont fleuris toutes l’année, l’eau abondante. La vie semble donc douce et paisible en ces lieux où il n’y a ni impôts, ni voleurs. Mais c’est aussi un des derniers lieux où l’on trouve encore une véritable vie coutumière et ancestrale. Le Sultan y dispose d’un magnifique palais, doté de tout le confort moderne, avec profusion de serviteurs ainsi qu’un harem avec … vingt-sept femmes ! A la question de ce chiffre de vingt-sept, il m’a d’ailleurs très gentiment répondu que ce chiffre représentait le nombre de jours d’une lunaison … Pour gouverner ce harem, car un harem se gouverne, il ne fait confiance qu’à son fidèle Abdul. Abdul est un garçon d’une trentaine d’années, le crâne rasé, le biceps puissant, l’œil noir toujours rieur mais à l’affût des moindres mouvements qui peuvent surgir dans son environnement. Glabre, Abdul est très fier de sa haute ...
    ... fonction au sein du Palais, de sa puissance et de la confiance que lui accorde son Maître. Il règne sur le harem en patron despotique et régente d’une "main de fer dans un gant de velours" les vingt-sept jeunes femmes, toutes plus belles les unes que les autres, originaires de nombreuses nationalités mais toutes volontairement recluses dans ce palais et toutes épousées légitimement au cours de noces qui se firent en grand cérémonial. Mais vous pouvez demander à Abdul si, de temps en temps, il n’est pas tenté ou si l’une de ces jeunes femmes ne cherche pas à le séduire, il vous répondra alors dans un grand éclat de rire qu’elles peuvent toujours essayer mais que cela ne serait d’aucune utilité, car Abdul est … eunuque ! Et de rire encore plus largement de sa réponse qu’il trouve toujours très drôle, sans compter, généralement, l’effet que cette annonce produit sur le visage de son interlocuteur, ahuri et confus ! Oui, Abdul est eunuque et heureux de son état ! Très peu de personnes ont la possibilité de le rencontrer. D’abord parce qu’il ne sort jamais du harem. Ensuite, parce que personne, ou presque, ne pénètre dans le harem. Enfin parce qu’il n’aime pas quitter son antre. Mais, avec la longue amitié qui me lie au jeune Sultan, j’ai eu l’occasion non seulement de visiter le harem, marque d’une extrême confiance, même si cette visite s’est faite en présence et sous l’autorité d’Abdul, mais elle m’a surtout permis de le rencontrer et de développer une relation amicale et surtout ...
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