Plaisirs au harem...
Datte: 27/07/2021,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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... du maître des lieux se soit arrêté sur une favorite, Abdul organise une veillée, traditionnelle, où il développe ses talents de conteur pour occuper l’esprit des dames et leur faire oublier à la fois leur solitude et leur réclusion. Ensuite, à l’heure où la lune monte dans le quart du ciel et lorsque apparaît Véga, l’étoile des Bédouins, Abdul fait rentrer chaque femme dans ses appartements privés, les ferme à clef après avoir contrôlé qu’aucun intrus ne se soit introduit dans le harem et il va se coucher, le trousseau autours de son cou puissant. Ainsi va la vie réglée du harem, sous la férule d’Abdul. Au matin, un peu avant l’heure de la première prière, c’est aussi lui qui va chercher la jeune épouse qui vient d’honorer la couche de son mari, s’assurant auprès du Maître de sa satisfaction puis la ramène dans ses appartements. Là, selon un rite immuable et ancestral, c’est lui qui donne les ablutions matinale à la jeune femme de "sortie de la couche du Maître et mari", car si jamais elle devait avoir été fécondée, il ne doit pas être question qu’un accident, qu’une "mauvaise manipulation" puisse interrompre le processus naturel, engagé par le seigneur et Maître. Or, une simple servante – bien que nombreuses dans ce lieu de vie clos et si particulier – pourrait être soudoyé par une autre favorite et causer un regrettable accident à un potentiel et futur descendant mâle. Voilà pourquoi, la toilette de retour de la couche du Maître est toujours confiée à l’eunuque. Selon les ...
... dires d’Abdul, il n’existe ni rébellion, ni récriminations de la part des jeunes femmes. Elles disposent non seulement de tout le confort moderne, y compris la télévision par satellite, mais peuvent entretenir des relations avec leur famille, leurs amies, mais uniquement des femmes. Toutefois, tout le courrier entrant et sortant, est sous la haute surveillance d’Abdul qui peut le censurer. Elles disposent de vastes jardins, qui leur sont entièrement réservés ainsi que de la piscine, d’un tennis, d’une salle de gymnastique et du hammam. Une importante bibliothèque est à leur disposition et maintenant, elles peuvent aussi faire leurs courses et passer des commandes sur Internet, mais n’accèdent ni aux messageries ni aux système de Chats. Bref, volontaires, heureuses, elles semblent vivre là des jours heureux et plein de félicité. Pourtant, après une longue, très longue mise en confiance, Abdul reconnaît que la vie n’est pas toujours simple pour ces femmes. La promiscuité est quelque fois source de conflits, mineurs, mais des conflits qui peuvent naître d’un rien, d’une broutille et dégénérer en véritables guerres internes avec alliances, création de clans, actes de vengeances, voire – assure-t-il - pouvant aller jusqu’au meurtre ! Alors Abdul veille au grain. Sans compter que l’impossibilité de sortir hors du harem peut entraîner quelques troubles chez certaines. Mais ce qui préoccupe souvent Abdul, c’est aussi et surtout la condition physique de ses protégées. Non pas qu’il ...