Plaisirs au harem...
Datte: 27/07/2021,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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... de confiance avec ce personnage si particulier. Abdul est issu de la même tribu que le sultan régnant. Et il sait que c’est un grand honneur qui lui a été fait, que d’avoir été choisi pour devenir et accéder aux fonctions d’eunuque. Bien sûr, raconte-t-il avec beaucoup d’humour et un brin de nostalgie dans la voix, le moment le plus désagréable a été l’opération, réalisée à Londres par un célèbre gynécologue, au frais du Sultan qui l’a transformé en eunuque. Mais cela aurait pu être pire … Abdul m’a d’ailleurs raconté qu’au début du siècle, les eunuques du sultanat - il y en avait plusieurs à ce moment là - étaient opérés sur place, par un Imam, après avoir été saoulé et sans être endormis … alors, lui s’estime heureux. Il a aussi pu recevoir une éducation supérieure, payée par le Sultan … non seulement il est allé à l’université de Riyad, en Arabie Saoudite, où il a étudié la littérature et les langues étrangères mais il a pu aller faire des études en Angleterre, pour suivre les cours de la fameuse école de Maître d’Hôtel ("The Butler High School") de Londres ainsi que l’école des Masseurs d’Ankara. C’est que les fonctions qu’il remplit auprès de son Seigneur et Maître d’abord et de ses dames ensuite l’oblige non seulement à connaître les us et coutumes des pays dont sont originaires les épouses du Sultan, mais de faire régner l’ordre et la discipline parmi elles, d’occuper les temps d’attentes et de loisirs de jeunes épouses et de les servir avec un rang de "princesses". ...
... Bref, des attentions de tous les instants qui demandent de nombreuses qualités. "Pire et mieux qu’un mari !" s’exclame-t-il. — Un mari se doit d’être attentionné, prévenant, aimant… mais il doit aussi travailler et le soir quand il rentre, il n’a pas toujours le temps ni le courage d’écouter les histoire de sa femme, les jérémiades des enfants, ni de s’occuper comme il le devrait de son épouse … qui peut ne pas être disponible pour son bon plaisir. Dès lors, Abdul, endosse toutes ses fonctions, moins celle du plaisir. Mais il reconnaît que des liens d’attachements forts le lie avec toutes les jeunes femmes du harem. Malheureusement, je n’ai pu les interroger pour leur demander si ce sentiment était partagé. C’est lui, qui les a toutes accueillit au sein du harem. De la Première épouse à la dernière entrante. Il connaît tout de ces dames. Age, préférences alimentaires, vestimentaires, loisirs, lectures. Ce qu’il n’avoue pas immédiatement c’est qu’il connaît aussi leur corps. C’est lui qui les masse, les oint, les pétrit ou prépare les jeunes épouses pour la nuit de noce, et tous les soirs, lors de leurs tours de rôles. Il vit au milieu des jeunes épouses recluses dans le gynécée. Elles y déambulent nonchalamment, à travers les coursives, se promènent dans leurs jardins réservés, au milieu des fleurs et des orangers. S’allongent, nues au soleil, sur le bord de la piscine ou sur les bancs de pierre du hammam où elles passent de longues heures. Et le soir venu, après que le choix ...