1. Plaisirs au harem...


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fh, fffh, couleurs, asie, couple, collection, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... à la sensibilité de la peau, réceptrice de la chaleur. Une rousse est très fragile, très sensible à la chaleur. Par contre une brune a la peau plus épaisse, les caresses vont devoir être plus appuyées, plus fermes. Une rousse, m’explique-t-il, a une odeur corporelle forte et rares sont celles qui apprécies de longs léchages corporels, car cela les gênent plus que ça ne les existent, d’autant que le mélange de la salive de l’homme peut aussi déclencher des odeurs plus fortes. Il m’explique aussi que les asiatiques, souvent complexées par leurs poitrines menues, n’apprécient guère que les hommes leur pelotent les seins, mais elles aiment les caresses sur le ventre, les fesses et le haut des cuisses. Par contre, les jeunes femmes d’origine arabe ont l’entrejambe particulièrement sensible à la caresse des doigts de leur partenaire parce qu’elles s’épilent depuis les premiers poils et conservent dès lors une peau très sensible au moindre frottement. Sans retenue, il me parle du contact des mains. Le contact de la peau sur la peau, me rappelant que c’est là l’un des premiers gestes que l’Homme et la femme s’échange. — Après presque dix ans dans le harem, en fermant les yeux et rien qu’en touchant avec mes doigts je peux dire si c’est une européenne, une asiatique, une arabe, une noire. Si c’est une rousse, une blonde ou une brune. Comme je lui jetais un œil à la fois interrogateur et incrédule, il ajoute. — Rien qu’en passant ma main sur son ventre ou sur ses fesses …D’abord, ma ...
    ... main doit être bien aplat, la caresse part de la paume, passe ensuite sur les phalanges et se termine sur le bout des doigts. Ainsi j’apprécie le grain de la peau, je remarque sa finesse mais aussi si elle dispose de duvet ou non … Avec l’habitude, on apprend à faire ces subtiles distinctions. Ma main est légère, douce, aérienne … Je contemplais les mains d’Abdul. Deux grandes mains, fortes, musclées, aux doigts larges, presque palmés à la fin. J’avais du mal à les imaginer "aériennes". Abdul, perdu dans ses pensées continue. — … elles doivent être comme les ailes d’un papillon, comme un colibri qui vient extraire le suc d’une fleur. Légère, toujours en mouvement … C’est un entraînement de tous les jours. Comme il voyait que je fixais ses mains, il s’interrompt un instant pour reprendre. — C’est simple, pour s’entraîner il y a deux techniques complémentaires. La première est facile. On enduit ses doigts d’huile et on pose sur une table une feuille de papier à cigarette. Le but du jeu est de frôler le papier sans le graisser et de le faire se déplacer par le simple courant d’air du passage des doigts… La seconde technique est plus dangereuse. Elle consiste à caresser la lame tranchante d’un sabre à raser, en passant le bout des doigts, qui doivent toujours être au contact du fils du rasoir, sans entamer la peau … Un long frisson me parcoure le dos, à l’évocation de ce dernier exercice. — … ainsi la main arrive à maîtriser sa légèreté, acquiert le doigté et devient aérienne … et ...
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