Gène du vice ? (5) - Histoires de Sexe

Gène du vice ? (5)

... en disaient long sur le plaisir qu’elle prenait, provoqué sans doute par les stimuli physiques et le sentiment de perversion engendré par le dépassement de nombreux interdits : l’inceste et la scatophilie ! J’atteins moi-même l’orgasme rapidement, entraîné par les coups de boutoirs appliqués par Adrien dans mon fondement et l’excitation de transgresser des règles morales profondément ancrées en moi. Lorsqu’ils se retirèrent de nos anus, les bites de nos partenaires étaient à nouveau souillées d’excréments. Par vice, je me dirigeai vers la tige de Richard pour laper la merde d’Agnès, tandis qu’elle venait goûter à mon caca chaud sur le sexe de son propre fils. A peine avons-nous eu le temps de nettoyer les queues, que les hommes éjaculèrent dans nos bouches. Nous partageâmes leur contenu immonde – composé de sperme, d’excréments et de salive – sous les applaudissements de nos partenaires. Après nous être légèrement remis de nos émotions, nous prîmes tous une douche bienfaitrice et nécessaire. Je posai alors naïvement une question : -« Jouez-vous à des jeux sales avec Virginie ? » Ma question troubla beaucoup Agnès : -« Ça ne va pas ! Tu es ...

... folle ! Comment oses-tu penser de telles choses de ma fille ? », protesta-t-elle. Adrien et Richard ne répondirent pas, j’étais sûre qu’ils avaient déjà envisagé d’inclure Virginie à leurs débauches sales… Ce soir-là je décidai de découcher de chez mes parents. Je dînai avec la famille d’Adrien, passai la soirée à avoir des rapports sexuels avec eux, sans toutefois retomber dans pratiques sales. Cette partie de baise bien crade avec Adrien et ses parents avait bousculé quelque chose en moi. Je voulais désormais partager encore plus de choses avec eux et passer plus de temps de débauche en leur compagnie. Comme ils me m’avaient déjà proposé à plusieurs reprises, je pris la décision de m’installer chez eux. Je dormirai dans le lit d’Adrien et pourrai ainsi vivre pleinement la vie décadente que j’étais en train de choisir. Pour la première fois de ma vie, je mentis à mes parents en leur disant que j’avais trouvé du travail dans une ville lointaine. J’étais honteuse de commettre un tel mensonge vis-à-vis des êtres qui m’étaient les plus chers, mais les tentations du vice étaient trop grandes. A partir de ce moment je me consacrerai à 100% à ma perversion.