1. La réfugiée


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, inconnu, bus, pénétratio, extraconj, Oral

    J’habite Banfora, une petite ville à l’ouest du Burkina Faso, tout près de la frontière avec la Côte d’Ivoire. En 2002, la guerre civile dans ce pays a jeté sur les routes des millions de ressortissants d’Afrique Occidentale qui fuyaient la mise en œuvre sanglante de la théorie nationaliste de l’ « Ivoirité ». Beaucoup d’Ivoiriens d’origine burkinabè furent ainsi rapatriés vers leurs terres d’origine qu’ils ne connaissaient pas pour la plupart. En juin 2003, je devais rejoindre en urgence Ouagadougou, la capitale du Burkina. C’était la nuit et toutes les compagnies de bus desservant Banfora étaient déjà parties. En désespoir de cause, je dus emprunter un bus affrété par le gouvernement burkinabè pour ramener ses nationaux au bercail. Ce bus avait-il été attaqué ? Je ne le sais pas. Mais certaines de ses vitres étaient cassées et laissaient entrer le vent froid et humide du début de la saison des pluies. De plus, aucune lumière du plafond ne s’allumait. Je me suis installé au fond du bus, sur la banquette arrière et je m’y suis même étendu pour dormir parce que j’y étais seul. Pourtant, au bout d’un certain temps, mon sommeil a été interrompu par une femme qui me demandait de lui faire de la place. De mauvaise grâce, je me mis sur mon séant, recevant du même coup des rafales de vent chargé de gouttelettes de pluie. Je sortis alors une couverture de mon sac pour me couvrir, résigné à subir les 450 kilomètres de ce voyage calamiteux. La femme qui s’était mise à côté de moi ...
    ... devait avoir sommeil car elle posa bientôt sa tête sur mon épaule et finit même par s’affaler sur mes jambes. D’abord énervé, je fus ensuite ému, imaginant les fatigues et les tourments auxquels les occupants de ce bus fantôme avaient été exposés. Je fis relever la femme un petit peu, je retirai la couverture qui était sur mes jambes et je recouvris ensuite ma voisine dont la chaleur douce s’imprégnait déjà en moi. Cette situation avait quelque chose d’excitant et je me mis bientôt à bander comme un âne. La femme qui avait la tête juste au niveau de mon pubis devait s’en apercevoir – si elle ne dormait pas ! Nous passâmes plus d’une demi-heure dans cette position. Je m’enhardis à la fin et je passai la main gauche sous son corps pour lui tâter les seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge sous son tee-shirt et ses seins avaient la fermeté de goyaves vertes. Comme je n’essuyais aucun refus, je poussai mon exploration plus loin, vers son flanc en passant ma main sous le vêtement. C’est alors que je sentis sa main à elle me frôler la jambe avant de soulever le bas de mon pantalon et de passer ses ongles entre les poils de mon tibia, au-dessus de la chaussette. Ouf ! J’avais la réponse que j’avais espérée. Je commençai alors à lui caresser la joue. À ma grande surprise, elle passa la main sur ma jambe, poussa jusqu’à la braguette et saisit mon sexe à travers le tissu du pantalon. Pourquoi ne pas lui faciliter la tâche et donner de l’air à mon pauvre dard si coincé dans le slip ? À ...
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