1. La réfugiée


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, inconnu, bus, pénétratio, extraconj, Oral

    ... et lui souhaitai bonne chance. Mais, le lendemain elle m’appela et me donna rendez-vous au siège de ce fameux comité. Quand j’y allai, elle me dit qu’on voulait l’envoyer dans la province d’origine de son père où elle ne connaissait personne. Tremblante, elle me supplia de lui trouver une famille d’accueil, le temps qu’elle ait un moyen de survie à Ouagadougou. Je l’emmenai donc chez le cousin qui m’hébergeait durant mes passages dans la capitale et qui me réservait une dépendance de sa villa. Je ne vous dis pas sa surprise et celle de sa femme d’autant que je suis moi-même un homme marié ! Pendant une semaine, Mariam refit mon éducation sexuelle. Elle faisait l’amour comme si sa vie en dépendait, m’incitant même à user de certaines substances pour la satisfaire. Le jour et la nuit, elle m’amenait au lit et me faisait des choses qui me laissaient tremblant de plaisir et même au bord de l’évanouissement. Et la dernière nuit avant mon retour à Banfora, elle m’offrit une chose unique que je n’ai plus jamais reçue d’aucune femme : elle m’amena à forcer son petit trou ! Cet acte d’amour que j’avais vu dans les films porno et que je n’avais jamais osé imaginer même dans mes fantasmes les plus fous, je l’ai découvert avec elle. Alors que je la prenais en levrette, elle a d’abord investi son anus de ...
    ... son majeur droit puis elle m’a invité à la pénétrer par là. Comme je n’y arrivais pas, elle est allée chercher de la vaseline dans la salle de bain et m’a montré comment m’y prendre pour assouplir son trou. Quand je l’ai jugée prête, j’ai forcé le passage étroit et ce fut comme si j’ôtais à une nubile sa virginité. La sensation fut tellement intense que je déchargeai immédiatement dans ses boyaux en gueulant. — Ce n’est rien, me dit-elle. Nous recommencerons tout à l’heure. Et, la fellation aidant, nous recommençâmes jusqu’à deux reprises. C’était tellement bon que l’idée de quitter la mère de mes enfants m’a effleuré un bref instant. Mais je ne suis pas du bois de ceux qui prennent de tels virages… Je la confiai à mon cousin qui lui trouva un emploi de vendeuse. Elle y resta quelques temps, puis elle repartit dans sa Côte d’Ivoire un peu apaisée pour, dit-elle, chercher des papiers d’identité et ses diplômes universitaires. Je la perdis de vue pendant des années. Tout dernièrement, je suis à nouveau monté à Ouagadougou à la recherche de financements pour mon entreprise. Arrivé au siège de ma banque, une jeune femme, incarnation de la beauté et de l’élégance, vêtue du tailleur bleu-marine chic des cadres de l’institution, m’a sauté au cou : c’était Mariam B., désormais Directrice du Crédit. 
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