1. La réfugiée


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, inconnu, bus, pénétratio, extraconj, Oral

    ... peine ma bite fut-elle à l’air qu’elle la goba pour une fellation qui me fit gémir dès les premiers instants. C’était une reine de la pipe ! Elle passa la main dans mon slip, me palpa les couilles, essayant même d’aller plus loin… À la fin, j’ai giclé dans sa bouche, me mordant farouchement le bras pour ne pas hurler de plaisir. Cependant le bus avait roulé et nous étions dans la petite ville de Boromo où le car fit une halte d’une demi-heure. J’invitai ma compagne de voyage à prendre une collation. J’étais surtout pressé de voir son visage à la lumière des étals de la gare routière. Nous étions dans un petit kiosque à café où elle avala à elle toute seule une miche de pain avec du café au lait avant de s’attaquer avec autant de succès à la moitié d’un poulet. J’observais la jeune fille pendant ce temps. Je la trouvais frêle parce que j’aime les femmes plutôt grasses. Néanmoins… Dieu ! Qu’elle était belle ! Les salissures d’un voyage de plus de mille kilomètres dans ce bus miteux n’avaient que peu terni cette déesse et l’on sentait qu’une bonne douche, un semblant de maquillage et une robe proprette lui rendraient toute sa brillance. J’étais soulagé parce que je ne trainais pas une souillon à mes côtés. Mieux, j’étais fier d’être auprès d’une telle beauté. Son petit cul tressautait divinement sous son pagne lâchement noué quand elle marchait. Nous fîmes des présentations sommaires comme il convient à des amants de passage, convaincus qu’ils ne se reverraient plus. Puis nous ...
    ... reprîmes notre voyage. Cette fois, Mariam (c’était son nom) voulait avoir sa part : à peine avions-nous repris nos places au fond du bus qu’elle s’attaqua à nouveau à ma bite pour une nouvelle fellation qui fut brève cette fois. Quand elle me jugea à point, elle releva son pagne, écarta son slip et s’empala sur moi en me tournant le dos. Nous avions pour nous la complicité de la nuit sans étoiles ; les véhicules qui nous croisaient révélaient à peine notre manège au reste des passagers lesquels, du reste, dormaient pour la plupart. Mariam arrêtait souvent son jeu de reins et je compris qu’elle désirait que notre coït durât le plus longtemps possible. Aussi je me retirais chaque fois que je sentais venir l’éjaculation. Nous tînmes jusqu’à l’entrée de Ouagadougou où un gendarme qui contrôlait les passagers faillit nous surprendre. Peut-être même vit-il que notre position n’était pas innocente. Mais pouvait-il tourmenter des rapatriés fuyant une guerre ? Quand nous entrâmes à Ouaga au petit matin, nous prîmes un petit déjeuner ensemble. Elle m’avoua qu’elle mourait de trouille : le Burkina était le pays de son père mais elle n’en connaissait que le nom de la ville d’origine de celui-ci. Je savais qu’elle allait au-devant de grosses emmerdes mais j’avais moi-même mes problèmes. Je lui donnai mon numéro de téléphone, une petite somme d’argent et le nom d’une personne que je connaissais au sein du comité d’accueil des rapatriés. Puis, lâchement, je lui donnai un baiser sur la joue ...