Les machinations de Laure (1)
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... juste. Milo avait prévenu Laure par SMS et nous avions foncé jusqu’à leur appartement pour tout préparer. Pendant que Milo s’activait dans la salle de bains, je réorganisais le mobilier. Si l’action devait avoir lieu sur le canapé, au milieu du salon, face à la télé, il valait mieux déplacer la table basse pour éviter de se cogner un orteil par mégarde. Et puis je voulais aussi que Milo ait un fauteuil confortable pour nous regarder, et pour se masturber tout à son aise si l’envie lui en prenait. Je jetai un regard à la baie vitrée. Nous étions au quatrième étage, et des vis-à-vis existaient bien, mais ils semblaient assez lointains. D’ailleurs, une petite exhibition n’était pas pour nous déplaire, à nous trois, vu la situation. Finalement, quand tout le décor me parut convenable, je m’assis sur le canapé. J’hésitais à me dénuder mais je préférai, tout bien réfléchi, me laisser faire par ses mains délicates. C’est avec gourmandise que j’attendis son entrée en scène. Cela faisait des mois que je la traquais, et j’allais enfin jouir de son corps. Je ne savais pas trop bien, d’ailleurs, si c’était la perspective de faire l’amour avec elle qui m’excitait le plus, ou le fait d’être parvenu à mes fins après tant de manœuvres et tant de roueries. Je peine à me souvenir des instants qui précédèrent immédiatement l’extase. Je sais que tout se déroula selon le plan. Elle entra dans l’appart et marcha droit à la salle de bains. Je l’entendis piaffer d’impatience et d’excitation sous ...
... les préliminaires de Malo. Ils échangeaient des phrases murmurées dont je ne percevais que des syllabes indistinctes. Puis j’entendis la porte s’ouvrir, et Laure, menée par la main par Malo, entra dans le salon. Ses cheveux châtain clair cascadaient sous le bandeau noir qui lui couvrait les yeux, sur ses épaules, jusqu’à ses fesses. Son visage ovale où luisait une bouche pulpeuse, entrouverte, prête au soupir comme aux assauts, attira tout de suite mon regard. Mais plus je l’observais marcher, prudente, sous la conduite de Malo, plus elle me fascinait. Ses seins irréprochables de rondeur, avec leurs aréoles prune déjà bombées d’excitation, ses bras lascifs, son bassin ondoyant, ses jambes longues et galbées, et jusqu’à ses pieds délicats, tout son physique provoquait en moi une attirance magnétique. Je sentais en elle une capacité infinie à me tétaniser. Pire : je voulais me laisser hypnotiser par ces formes harmonieuses à la perfection qu’elle exhibait maintenant devant moi, se tournant dans un sens et dans l’autre pour me présenter ses fesses rebondies, musclées mais souples, ses hanches que je savais d’instinct proportionnées à ma main, sa cambrure bouleversante, son cou gracile, et cette impudeur dans le geste. J’aurais voulu, en cet instant, qu’elle fût de lave et de feu, et que mes globes oculaires fondissent dans un dernier plaisir visuel. Elle s’agenouilla aux pieds de Malo, dos à lui, face à moi, et Malo demanda : — Dis-moi ce que tu as envie de faire, chérie. — J’ai ...