Les machinations de Laure (1)
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... envie de baiser. — Tu as envie de baiser ? — J’ai très, très envie de baiser un mec. — Pas moi. — Pas toi. Un mec. — Vas-y, chérie. Fais-toi plaîs’. Elle avança vers moi, à genoux. Ses seins ballottaient d’une manière presque aérienne, et sa bouche se précipitait à la rencontre de la mienne. La douceur de ses mains qui remontaient sur mes cuisses et s’arrêtaient sur ma braguette pour l’ouvrir se conjugua à la chaleur de ses lèvres quand elle m’embrassa, poussant sa langue dans ma bouche. Pendant ce baiser, ses doigts dégrafaient ma ceinture, saisissaient mon pantalon et mon caleçon et les tiraient vers le bas. Elle s’arracha à mon étreinte et dit : — Je suis toute mouillée. Tu as intérêt à assurer. Malo vit que j’allais répondre mais d’un froncement de sourcil il me rappela la règle du silence, et je lui obéis aussitôt. Renouvelant son baiser, Laure empoigna ma verge de sa main droite et commença à monter et à descendre, me branlant avec hésitation d’abord, puis de manière de plus en plus assurée. Nos langues se contournaient dans une délicieuse sarabande qui s’interrompit lorsque Laure dit : — Attends, il faut que je vérifie un truc. Sans autre préliminaire, elle se pencha sur ma queue, l’embrassa, et, la maintenant de la main droite, l’enfourna lentement dans sa bouche. Je sentis une résistance dans son cou, alors qu’elle descendait toujours. Elle sortit la langue et l’envoya explorer la base de ma bite, laissant un espace supplémentaire dans sa bouche pour avaler le ...
... reste de mon membre, touchant enfin mon pubis du bout de son nez. Elle m’avalait entièrement, et le bout de sa langue continuait de frétiller. Je sentis qu’elle maintenait la position le plus longtemps possible et soudain elle n’y tint plus. Elle remonta d’un coup, laissant dégouliner sur mon membre une énorme coulée de salive. Elle se tourna vers Malo et s’exclama : — Tu sais qu’il s’est rasé la bite ? — Je sais, répliqua Malo. Il l’a fait dans la salle de bains tout à l’heure. — En tous cas, il est bien pourvu, chéri. Un peu mieux que toi, je dirais. — Alors, qu’est-ce que tu attends ? Fais-le-toi, chérie. Il n’attend que ça. Je n’eus que le temps de déboutonner ma chemise pendant qu’elle tirait mon pantalon et mon caleçon le long de mes jambes, avant de les jeter à terre. Elle posa un genou sur canapé, à ma droite, et m’enjamba de l’autre. Passant une main derrière son dos, elle saisit ma verge et la tint dressée sous son bassin qui se rapprochait, se rapprochait... Mon gland effleura sa vulve. Je sentais la chaleur, la moiteur de son sexe, et je crus qu’elle allait me prendre en elle d’un seul coup, mais elle se redressa, joueuse. Ses seins magnifiques rebondirent sous mes yeux. Je lui empoignai les fesses à pleines mains et portai ma bouche à ses aréoles délicates, les agaçant du bout de la langue, du bout des dents, tandis qu’elle continuait à rapprocher son bassin du mien avant de l’éloigner. Elle soupirait d’excitation et je joignis mon souffle au sien. Nos bouches ...