1. danse sexuelle avec ma mère (1)


    Datte: 30/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    BonjourJe m’appelle Antoine. J’ai 22 ans. Etudiant sage, j’habite toujours à la maison, avec ma mère, Anne. Ma mère est une jolie femme de 45 ans, bien conservée, aux formes généreuses. Sa jolie poitrine, ses hanches fines et ses belles fesses rondes font que c’est une femme qui a encore pas mal de succès et elle se fait encore souvent draguer. L’année dernière, elle est revenue à la maison avec un prospectus pour des cours de danse latine, salsa, kizomba, bachata. Ça faisait longtemps qu’elle avait envie d’essayer, et je lui ai proposé de le faire avec elle. Elle était enchantée de l’idée. Moi j’étais ravi de danser avec elle. J’avais toujours trouvé ma mère belle et lumineuse, d’une sensualité qui me ravissait. Un peu plus que ça, même : j’avais envie d’elle. Alors avec ce genre de danse qui se pratiquait collé serré, je me disais que c’était l’occasion rêvée d’un rapprochement... On a pris quelques cours, avec la bonne intention de progresser. Cela voulait dire de l’entraînement aussi. On faisait ça à la maison, presque tous les jours quand je rentrais de l’école. — Tu danses bien , mon chéri ! me complimentait ma mère. Le fait est que c’était très agréable de danser avec elle. Collé contre elle, je sentais son corps chaud et doux contre moi et ça me troublait vraiment. Ce contact m’excitait. Cette excitation produisait une raideur assez significative dans mon pantalon : je bandais. Ho, pas une grosse érection, mais assez pour que ma mère s’en aperçoive. Je m’attendais à ...
    ... une réaction outrée de sa part. A ma grande surprise, c’est l’inverse qui se passa. — C’est pas grave ! me dit elle. Les mecs bandent souvent un peu lorsqu’ils dansent avec les filles ! C’est la nature. Moi en tous cas ça ne me gêne pas ! Non seulement elle ne semblait pas dérangée par mes érections intempestives, mais en plus elle semblait en être presque flattée. J’avais même l’impression qu’elle ne refusait pas de se coller encore un peu plus à moi, plutôt satisfaite de constater la virilité de son fils. L’ambiguïté de la situation était manifeste. Les jours qui suivirent, nous avons passé beaucoup de temps nous entraîner ensemble et nos contacts devenaient chaque fois plus sensuels. Mes rêves étaient en train de devenir réalité. Ma mère, douce et ravissante, ne rechignait pas à ces contacts. En plus, comme si elle voulait me provoquer, elle s’habillait très sexy, avec une préférence pour les petites robes courtes et légères qui mettaient ses jolies formes en valeur. Un après midi, elle avait mis une petite jupe bien trop courte pour être honnête. Nous avons commencé notre entraînement, collé serrés sur une kizomba. Mais je n’arrivais pas à suivre le rythme. Ma mère me faisait littéralement perdre la tête. J’essayais tant bien que mal de ne pas trop bander et de rester concentré sur mes pas de danse. Mais à un moment, suite à une passe mal réceptionnée, je me suis aperçu que ma main s’était replacée trop bas. Au lieu d’être sur la taille de ma mère, elle se retrouvait juste ...
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