danse sexuelle avec ma mère (1)
Datte: 30/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sur sa fesse. Une fois que j’ai réalisé ça, c’était trop tard, je n’avais aucune envie de retirer ma main. Ma mère ne fit rien non plus pour s’en dégager. Elle continua à danser, collé serré avec moi. Encouragé par la passivité de ma mère, j’osais passer ma main sous sa petite jupe (ça n’était pas compliqué), directement sur sa fesse nue. Sa peau était d’une douceur incroyable. Je ne sentais pas de culotte. Je cherchais en vain quelque chose qui ressemble à un élastique, un morceau de tissu. Mais rien. — Si c’est ça que tu cherches, je n’en ai pas mise aujourd’hui... Mon souffle s’est arrêté un instant. Ainsi ma mère, sachant qu’elle allait danser avec son fils, n’avait pas jugé utile de mettre de culotte ? L’invitation ne pouvait être plus explicite... Alors j’ai laissé mes doigts se promener sur sa chaire nue, malaxant avec délectation ses belles fesses, les prenant à pleines mains. — Elles sont bonnes, tes caresses, mon chéri. Mon coeur battait la chamade. Nous nous sommes alors laissés allés dans un déluge d’émotion. On a commencé à s’embrasser, dans le cou, sur la joue, puis à pleine bouche. Toute notre énergie passait par nos bouches, nos langues se mêlaient dans des élans d’une fantastique gourmandise. Je passais ma main partout où le désir me poussait. Sa robe était si courte et légère que je n’avais pas beaucoup d’effort à faire pour caresser ma mère dans les endroits les plus intimes, ses cuisses, ses fesses, osant même glisser quelques doigts vers son entre jambe, ...
... son sexe. Ma mère en retour avait posé la main sur la bosse dans mon pantalon et tâtait ma queue, comme si elle voulait vérifier mon érection. Flirter avec son fils, passe encore, mais encore fallait il que le matériel soit de bonne qualité ! Ca n’avait pas pour effet de me calmer. — Hé bien, il y en a, là dedans ! Comme pour vérifier sa constatation, elle entreprit alors d’ouvrir ma ceinture, baissa ma braguette, puis baissa carrément mon pantalon. Ma queue, enfin libre, jaillit comme un diable hors de sa boîte. Ma mère exulta : - Mon Dieu, qu’elle est belle ! ... Dieu n’avait rien à voir avec ça, mais ma mère pouvait à juste titre être fière : mon sexe avait une taille tout à fait remarquable. Elle se mit à le caresser doucement, visiblement heureuse de voir que son fils avait un si bel engin, et qu’il bandait si bien. C’était tellement bizarre, pour un fils de sentir les mains de sa mère sur sa queue. C’était délicieux. Alors, comble de bonheur, elle est descendue sur ses talons, a porté son visage à hauteur de ma taille. Puis elle a mis ma queue dans sa bouche et s’est mise à me sucer avec une douceur infinie. Je n’en revenais pas. J’étais ravi. Sa bouche était la chose la plus délicieuse du monde. Elle jouait avec ma queue comme peu de femmes savent le faire, alternant succions et caresses, laissant glisser ma queue très loin, profondément au fond de sa gorge. — J’ai trop envie de ton sexe, mon chéri. Je le veux en moi. Ca fait des semaines que j’en ai envie, depuis que ...