1. danse sexuelle avec ma mère (1)


    Datte: 30/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... la première fois j’ai senti ton corps contre moi, en dansant. J’en ai assez de me retenir. Viens ! Allons dans la chambre ! Jamais je ne me serais imaginé que ma mère puisse avoir autant envie de moi. C’était inespéré, une délicieuse surprise. Elle m’a entraîné par la main dans sa chambre. Là elle a terminé de se déshabiller. Nue elle était encore plus belle. Tout était beau : ses seins, ses jambes, son cul, tout était superbe. Elle s’est allongée sur son lit et a écarté les jambes, m’offrant pour la première fois le spectacle de son sexe nu. Quel enfant n’a jamais fantasmé sur le sexe de sa mère ? Moi comme les autres, je me l’étais souvent représenté en rêve, comme un objet mystérieux. Jamais je n’aurais pensé qu’un jour elle allait me laisser y accéder. Ce sexe était à la dimension de mes fantasmes : fantastique. Sa belle vulve épilée me paraissait énorme. Je n’arrivais plus à en détacher le regard. Ses lèvres étaient très grandes, volumineuses, gonflées, déjà luisantes de désir, légèrement ouvertes vers les délices de son vagin. C’était d’une indécence torride. A mon tour je me suis vite déshabillé et je me suis allongé sur elle, tremblant de désir. — Tu m’excite maman ! C’est dingue comme tu m’excite ! — Toi aussi tu m’excite, mon chéri. Ça fait longtemps que j’avais envie de ça ! Allez, viens, faisons le ! prends moi ! Elle a saisi ma queue, l’a orientée vers sa vulve, et m’a tirée à elle pour me faire venir en elle. Je l’ai pénétrée. Quel miracle ! Je ne connais rien ...
    ... de meilleur dans la vie que sentir son sexe glisser doucement dans le vagin de sa mère. Mon sexe fondait en elle et c’est moi qui fondait d’émotion. On se laisse volontiers aller aux débordements de plaisir lorsqu’on a son sexe dur et long bien au fond du chaud vagin de sa mère. Notre premier après midi d’amour fut magnifique. Je lui faisais l’amour avec frénésie, un plaisir immense, et je ne voulais pas que ça s’arrête. Par devant, par derrière, au dessus, au dessous... Chaque fois le plaisir était divin. Ma mère était brûlante d’excitation, une vraie furie. — Baise moi ! Plus fort ! Putain comme c’est bon ! Tu aimes ça, que je sois une grosse cochonne, hein mon chéri ? — Ho oui maman ! — Alors baise moi encore ! Défonce ta maman ! Alors je la baisais encore et encore. Jamais je n’avais autant bandé pour une femme. Ma mère était d’une beauté et d’une sensualité qui me faisait perdre la tête. J’allais et venait comme un fou dans son sexe, embrassais en même temps ses fantastiques seins, je les léchais, les avalais. Puis je sortais de son sexe, venait lécher sa chatte, m’enivrant de son suc. Puis je retournais à nouveau la baiser avec une fougue qui la surprenait. Jamais je n’avais pris autant de plaisir. Tout cela dura une bonne heure. Mais au bout d’un moment je sentais que ce plaisir me submergeait. — Maman j’en peux plus. — Alors vas y ! Tu peux jouir. J’ai un stérilet, aucun soucis. Mais après, je te préviens, on remet ça. J’ai encore envie, moi ! Alors je me suis lâché. ...