1. Anonymix


    Datte: 31/07/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, BDSM / Fétichisme intermast, Oral nopéné, jeu,

    Résumé de l’épisode précédent :Trop timide pour avouer à ma nouvelle collègue mes sentiments pour elle, j’ai décidé de dialoguer avec elle anonymement. Cela fonctionne. Après nous être découvert, sous l’effet d’un jeu de séduction, nous nous donnons rendez-vous sans dessous dessus, au sous-sol. L’heure approche…J’allume le PC, lance le traitement de texte, et tape :— Gaëlle, verrouille la porte, et attends.Je tourne l’écran afin qu’elle puisse voir le message en entrant. J’éteins la lumière. Mince ! L’écran illumine à lui seul la pièce. Je suis en train de régler le contraste lorsque la poignée de la porte bouge, on entre. Rapidement, je fais un bond en arrière pour me cacher derrière celle-ci qui, une fois ouverte, devrait me dissimuler. Mon geste a été rapide, un peu trop d’ailleurs. Dans l’élan, mon dos frappe violement une étagère, ce qui provoque immédiatement trois phénomènes : — RODTENTGUDTJU !!! Hurlement emprunté à notre cher Gaston Lagaffe. Ne pouvant pas décemment écrire le vrai juron, faute d’être radié à vie de Rêvebébé, j’improvise. Second phénomène : la chute involontaire d’une bonne douzaine de cartouches d’encres usagées, ajoutant un peu plus d’ambiance sonore au capharnaüm existant. Enfin pour finir, le réflexe de n’importe qui en ce bas monde, allumer la lumière pour voir ce qui se passe. Je me trouve donc face à elle, sans aucune possibilité de réagir. La surprise est totale, autant pour elle que pour moi. — Qu’est-ce que tu fais là ? me dit-elle.— Euh… ...
    ... Lucie ? Euh… (Pense, pense, pense !) Je dois être ridicule. Alors que je range le bordel ambiant, en invoquant des excuses à deux balles, soit disant une cartouche vide à descendre, je me rends compte que le message laissé sur l’ordinateur est toujours visible. Je me dirige vers celui-ci pendant que Lucie regarde l’étendue des dégâts. L’a-t-elle vu ? Je n’en sais rien. Plutôt que d’effacer le message, je choisis la méthode directe, j’éteins l’écran. Lucie me tourne autour, il ne manquerait plus qu’elle me saute dessus. J’imagine la situation, Gaëlle me découvrant au sous-sol avec cette saute au paf, sûr qu’il faudrait se justifier. Je continue mon ménage en essayant de lui faire comprendre qu’elle peut s’en aller. Elle s’accroche la bougresse. Il est 16h20, Gaëlle ne va pas tarder. Le «J’te laisse, à demain » me comble de joie, le «Bonjour à Gaëlle », un peu moins. Merde, elle a vu le message. En parlant de message, je rallume l’écran, il est toujours là. Je n’ai plus le temps de penser à Lucie, on verra bien. Je coupe la lumière et m’installe dans la pénombre. J’attends. Mains dans les poches, j’anticipe sur les différents scénarii et sans le vouloir, mon membre commence à me faire comprendre sa présence. Je suis excité et mort de trouille. La porte s’ouvre. C’est elle. Elle rentre. Elle regarde le message et l’exécute. Dans ma tête, je souris, je me dis que j’aurais dû marquer : —Déshabille-toi, mets-toi à quatre pattes et attends, mais cela aurait été moins romantique. Dès ...
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