Anonymix
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
nopéné,
jeu,
... fois, je suis aussi con que Jean-Louis.— Y a quelqu’un ? demande Gaëlle.— Chuuuttttt, dis-je en posant mon index sur sa bouche. Le contact est électrique. Je m’assure que la porte est bien fermée, j’éteins une nouvelle fois l’écran. Nous sommes dans l’obscurité totale. Je la prends par la main (comme Yves Duteil), et la place dos au mur. Je passe ma main sur son visage et dépose un baiser dans son cou. Elle frissonne. Ma main descend sur son épaule, la seconde effleure la base de son cou. Je joue avec son collier, le faisant glisser sous mes doigts, il me guide vers son décolleté. Stoppé par le chemisier, je mets au défi le premier bouton, mes doigts tremblent. Gaëlle se laisse faire, immobile, j’entends le souffle de sa respiration. Le bouton ne cède pas, j’insiste. Mis à part ceux de la puberté, jamais un bouton ne m’a résisté bien longtemps. Vainqueur, j’entame le second, puis le suivant. Je gagne du terrain et arrive déjà sur son ventre. — Je ne pensais pas que mon décolleté était si ouvert… ironise Gaëlle. Je dégrafe les derniers rebelles et pose ma main délicatement sur son ventre, l’autre vient s’installer sur sa taille. Que ce contact est exquis. Je découvre ce corps en restant dans l’entrebâillement du chemisier, mes doigts se promènent en remontant le long de l’échancrure, j’effleure au passage un doux monticule, grimpe jusqu’à son cou où ma bouche dépose à nouveau un baiser. Gaëlle tourne son visage vers le mien, nos bouches se rejoignent, nos langues échangent ...
... les familiarités d’usage au vu des circonstances. Ma main retourne se nicher vers les reliefs de son corsage, j’en dessine les contours en m’engouffrant sous son chemisier, Gaëlle plaque sa main sur ma nuque pour renforcer notre étreinte, signe que j’interprète comme une autorisation d’aller plus loin. Je vais plus loin, et découvre un petit bourgeon, déjà bien dressé, il devient aussitôt mon meilleur ami. Je joue avec, alors que mon autre main parcourt son dos. Je quitte sa bouche pour prendre le relais de mes doigts sur son sein si appétissant. Mes mains glissent sur ses hanches. Gaëlle m’enlace toujours la nuque, elle appuie légèrement sur mes épaules, elle veut que je descende. J’embrasse son ventre, puis me mets à genoux à ses pieds. Ses mains dans mes cheveux, elle accompagne mon visage qui la couvre de baisers. Je remonte sa jupe et reconnais instantanément son parfum. Il est là, tout près. Mes lèvres rentrent en contact avec un duvet que j’imagine brun. J’embrasse alors cette bouche humide dépourvue de langue. La mienne part à la recherche du plaisir, le trouve et le provoque. Gaëlle place une de ses cuisses sur mon épaule. Encore une et elle tombe. Me facilitant l’accès pour jouer, je concentre mes efforts sur un minuscule endroit et pourtant si sensible. La réaction est immédiate, son bassin ondule de plus en plus, ses mains m’arrachent les cheveux. Petit à petit, ses mouvements deviennent incontrôlés. Elle vient. J’écoute religieusement la mélodie de son bonheur. Si ...