L'Aurore d'une autre vie (19) - Histoires de Sexe

L'Aurore d'une autre vie (19)

Bien des mois ont passé, durant lesquels Aurore et moi élaborions des plans pour nous voir en intimité autant que possible. Sa meilleure amie nous aidait de temps à autre en nous invitant une nuit chez elle, et nous laissant son lit pendant qu’elle dormait dans le canapé. Voilà plus d’un an maintenant que ma cousine et moi avons commencé nos relations sexuelles. Plutôt que de partir en vacances avec nos amis, nous sommes chacun restés chez nous pour travailler énormément et ainsi gagner autant d’argent que possible. Par bonheur, nos parents, eux, faisaient des sorties et des voyages, ce qui nous laissait souvent quelques jours de suite à passer ensemble. Et ça faisait du bien. Nous étions en train de faire l’amour, en missionnaire, elle à m’étreindre de tout son corps et moi à l’embrasser passionnément dans le cou, mes testicules touchant doucement et avec régularité son sexe tout ce qu’il y avait de plus câlin. Cela faisait maintenant peut-être quinze ou vingt minutes de galipettes intenses, et poussé à bout je me laissai remplir ma cousine de semence chaude. Elle l’avait très bien sentie, et soufflait la bouche grande ouverte. Alors qu’elle me caressait les cheveux pendant que ma verge était toujours dans son vagin, je m’approchai pour lui donner une multitude de petits baisers souriants. Le sexe avec Aurore était vraiment très bon et très épanouissant. Peu après m’être retiré d’elle, alors que nous étions heureux et souriants, une envie d’aller aux toilettes me surprit et ...

... je quittai ma cousine dans une caresse. Une fois de retour, je la trouvai allongée sur le côté ; d’abord attendri en pensant qu’elle attendait que je me glisse dans son dos, je me rendis compte que son visage n’était plus rayonnant, qu’il était même devenu préoccupé. — Ça ne va pas ? Aurore ne disait rien. Je redemandai donc, en essayant de comprendre ce qu’il se passait, ce qui la rendait aussi songeuse. Puis j’eus sa réponse : — Je n’en peux plus… — Comment ça ? — J’en peux plus de mentir, Arnaud. Mentir ? Que voulait-elle dire ? À moi ? Ou bien… — Je ne peux plus garder notre relation secrète. J’en ai marre de devoir nous cacher, de mentir à tout le monde, de ne pas nous voir aussi souvent qu’on voudrait. J’en ai assez… Plus elle parlait, et plus je sentais des sanglots monter dans sa voix. Incapable de dire quoi que ce soit, je me contentai de lui faire une caresse le long de son bras. — C’est trop lourd. Je suis contente d’être avec toi, de passer du temps et du sexe ensemble, mais à chaque fois je culpabilise. Au bout d’un an, je n’en peux plus. J’ai besoin de dire la vérité, Arnaud. J’ai besoin de dire la vérité ! — Mais Aurore, comment on va faire ? Comment ils vont réagir, nos parents ? — Je sais pas. Mais on s’aime ! Et c’est ce qui importe ! Merde pour l’inceste ! C’est décidé, j’en parlerai à mes parents. Je préfère me faire engueuler que garder ce secret plus longtemps. — Mais si jamais ils t’interdisent de me revoir ? Ça va être encore plus compliqué. — On aura ...