1. BM... W La suite 2


    Datte: 01/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... dirais... le mental, car si tu ne veux pas vraiment, il vaut mieux oublier. Ou se taper une petite quéquette. Mais ça, même pas en rêve. J’ai tenté, ce n’est pas pour moi. — Et des grosses, tu en as rencontré beaucoup ? — Quelques unes... — Plus grosse que la mienne ? — Oui, j’en ai croisé, mais si elles remplissent mes fesses, toutes ne remplissent pas leur office. Patrick était une exception. À peine plus large que toi, mais tellement doux et respectueux. Sinon, c’est un plan cul et on passe à autre chose. Sans respect ni tendresse, ça reste “hygiénique” et un peu fantastique. Allongé à ses côtés, la tête dans ma main, je ne peux que caresser son ventre, cajoler son sexe et étreindre ses bourses tout en parlant. — Et lorsque tu la découvres, tu ne t’es jamais demandé si elle allait rentrer ? — Si ! La première fois avec Patrick, qu’est-ce qu’il était large ! Mais j’étais super excité, et le personnage me plaisait beaucoup. Enfin, avant de le voir nu, je l’appréciais déjà. Mais la plus impressionnante, c’était à Münich. — Grosse ? Un black ? — Non, Autrichien. Simplement énorme. Un truc de cirque ! — Tu l’as rencontré comment, si ce n’est pas indiscret ? — Dans un bar à cocktails où j’allais deux ou trois fois par semaine. Je le voyais souvent, je le connaissais de vue. Un soir, je ne savais pas trop quoi boire. Il était sur le tabouret juste à ma droite. Et là, il me dit : “Si tu es fatigué, prends un Grand Matelot, sinon, le Petit Matelot est bon pour le moral !”. Puis il ...
    ... dit au barman que c’est pour son compte. — Sympa ! Quel âge ? — La trentaine, 35 tout au plus. Du coup, on fait connaissance. Il s’appelle Dieter et vient du Tyrol. On boit nos verres et je lui en paie une autre et là, un peu chaud, il me demande ce qu’un beau jeune homme comme moi cherche dans des les bars. Bref, il me drague, mais à demi-mot, me prenant probablement pour un perdreau de l’année. Le bar est plein, il y a un bruit terrible. Les Allemands parlent hyper fort. Mais le mec est sympa, bonne gueule, je le laisse venir. Mais au troisième verre. — Ouais, en fait, vous étiez bourrés, non ? — Pas tant que ça, je tenais bien l’alcool et lui aussi, apparemment. Au troisième verre, profitant du monde autour de nous, il se lève et se met contre moi. On ne s’entendait presque plus. Là, il pose une main sur ma cuisse et me dit que je suis très sympa, qu’il aimerait bien que l’on soit ailleurs. — Au moins, un peu lourd, mais direct, le mec. — Carrément, et ça m’excite. Je veux bien, mais premièrement, pas dans les chiottes du bar, et deuxièmement... je lui dis que j’aime “les belles queues”. — Il ne l’a pas sorti en plein bar, quand même ? — Non, il m’a seulement dit que je ne serai pas déçu. Là, tout est allé très vite. 10 minutes plus tard, on arrive chez lui. Il m’attrape par les fesses pour me plaquer contre lui et essaie de m’embrasser, ce dont j’ai horreur. J’esquive, il m’embrasse dans le cou en se frottant le bas-ventre contre moi. Je pense qu’il bande déjà, mais il me ...
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