1. BM... W La suite 2


    Datte: 01/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... répond que non et qu’un câlin n’est un pas suffisant pour le faire bander ! Je palpe l’engin et effectivement, il n’est pas rigide. Mon cerveau ne croit plus ce que mes doigts lui racontent ! Tout en racontant cela, sa queue reste l’objet de mon attention. Mais elle s’est déjà rallongée. De mon côté, je sens son sperme se liquéfier dans mon anus et serre les fesses. De repenser à cela ravive certes ma libido, mais il ne reste visiblement pas de marbre ! — Je ne te dis pas mon excitation en sentant un si gros barreau. On arrive dans la chambre et là on se retrouve à poils vite fait bien fait. Je ne te dis pas le choc ! Entre ses jambes, il pend une trompe qui doit faire bien 20 centimètres et d’un putain de diamètre ! Mes doigts n’en font pas le tour, et son gland recouvert est plus large encore. — Comme la mienne quand je bande ? — Pratiquement, sauf que là, elle était molle. Mais tu n’as aucun complexe à avoir. le rassurais-je en tirant sur son frein pour exhiber fièrement son majestueux gland. Regarde un peu ce monstre ! Toi, tu es hors-,orme, lui, hors-concourt. Je me penche sur son ventre et le prends doucement dans ma bouche en gloussant de plaisir. Mes lèvres s’échouent sur les poils de son pubis quelques secondes, puis remontent en l’aspirant. De la pointe de ma langue, j’aguiche son méat et lèche sa couronne. Sa main glisse le long de ma colonne vertébrale pour atterrir sur ma croupe. Sa caresse est aussi douce que ma fellation. Nous avons tout notre temps. Sa hampe ...
    ... grossit à vue d’œil, mais ses couilles m’appellent. J’y perds mon nez et les aspire, les lèche, suce leur peau. Elles sont si volumineuses qu’une tient à peine dans ma bouche. Elles sentent le musc, l’homme viril. — Je l’adore, ta grosse quéquette. Vraiment. — Tu suces vraiment très bien ! lance l’homme en serrant fort ma fesse. — Doucement avec mon cucul ! Ton sperme est juste au bord, si tu m’écartes les fesses, c’est le déluge. Mais j’aime trop sentir ton foutre en moi, ça me rassure. — Coquin. Si je te sers un verre de vin, tu me racontes la suite avec ton Autrichien ? Ça m’excite, ta façon de raconter. Comme j’acquiesce, il se lève et me demande où trouver des verres et un tire-bouchon. Le revoilà, la queue encore à l’horizontale, deux verres à la main. — Alors ? insiste-t-il après que nous ayons trinqué. — On se met en 69, je prends cette queue dans ma main. Ma première surprise est son poids. Elle est débandée et pèse très lourd, et le morceau qui dépasse se plie, je dois la prendre à deux mains. Son gland recouvert se dessine sous la peau. Je le décalotte et l’observe avant de le prendre entre mes lèvres. Large, lisse et souple. Je suis euphorique, j’en ai le ventre qui gargouille. — Le stress ? La peur ? — Hummmm... ton vin est délicieux. Merci ! Non, pas le stress, mais l’inconnu, le jamais vu ou la crainte de ne pas y arriver, plutôt. Bref, en forçant un peu, le gland passe et je l’embouche de justesse en tenant sa queue des deux mains. Et me voilà parti à tenter de ...
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