Garde-à-vous !
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
ff,
hh,
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couplus,
hsoumis,
69,
Partouze / Groupe
hsodo,
confession,
... juste temps : le foutre jaillit en longues giclées. Je vois la première. Les autres me sont cachées par les lèvres qui se sont refermées sur le gland. La branlette s’est transformée en traite. Rémy chasse de sa queue jusqu’à la dernière goutte. Il se retire de la gorge réceptacle. — Montre, je demande à nouveau à la pute de service. Le foutre forme une flaque glauque que la langue rassemble. Des bulles se forment sous l’effet de la respiration. — Avale ! Il le fait. J’aime, comme les hommes, voir la glotte bouger et savoir que le paquet gluant descend dans le tube digestif. Quoi de plus beau, même si, raconté, cela paraît dégueu. Je me penche et embrasse la femelle rassasiée. Ses lèvres sentent le sperme. Sa langue en est encore imprégnée. Mais, que c’est bon ce baiser qui, d’une certaine façon, montre que ce qui a commencé par un baiser se termine de la même façon. Petit à petit, la pute disparaît. Marc renaît. Nous retrouvons le partenaire du début lorsqu’il nous propose la salle de bain et annonce « Les femmes d’abord ! » en me cédant le passage. ______________________ Je n’ai pas revu Armelle après cette soirée, juste un échange de coup de fil de sa part pour s’assurer que tout s’était bien passé et qu’elle serait heureuse de nous recevoir à nouveau. En effet, huit jours plus tard nous partions en vacances. On profite jusqu’au dernier moment de ces quinze jours de repos, même si le mot « repos » n’est pas approprié du fait des baises en série. Comme on est au mois de ...
... juin, on a pu se payer un séjour de rêve dans l’endroit mythique des libertins, le Cap d’Agde. Mais tout a une fin, et le retour à la caserne se fait le plus tard possible, minuit passé. Une petite nuit de sommeil, et nous nous présentons pour la prise de service. Après quelques mots comme on peut en échanger après des vacances, le collègue nous informe qu’on a reçu un nouveau capitaine. — Capitaine Marchand. Vous le connaissez sûrement. Ce nom ne me dit rien, — Non ? Et toi, Rémy ?— Non plus.— Pourtant, lui vous connaît.— Ah… Il te l’a dit ?— Non, mais pour sa prise de service, il a rencontré tout le monde, et comme vous étiez absents, il a consulté vos fiches. Et en les regardant, il a eu un drôle d’air et m’a demandé si les photos étaient récentes.— Pourtant son nom ne me dit rien. Peut-être que Rémy ou moi l’avons croisé à l’école ou en déplacement.— Bon, de toute façon vous le verrez tout à l’heure. En attendant vous êtes de radar sur l’A109. Vous connaissez le coin ; pas la peine de vous faire un dessin. Soyez de retour pour 17 heures car une autre équipe doit prendre la suite. La journée se passe normalement. Pas passionnant de flasher les excès de vitesse, mais il faut bien le faire. De retour à 17 heures, le collègue de permanence nous dit : — 19 heures ce soir dans les quartiers du capitaine. Tenue civile. Impossible d’en savoir plus. La seule chose, c’est que le capitaine est marié et que sa femme a emménagé en même temps que lui. 19 heures précises. On sonne. On est ...