1. Garde-à-vous !


    Datte: 13/11/2017, Catégories: ff, hh, fhh, couplus, hsoumis, 69, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... frissonnants déjà au bord de l’orgasme. Il me tend la main, je me lève ; il me pousse, il me guide. Me voici sur Rémy, chevauchant mon mec, sa propre queue maintenue par une main étrangère, l’autre main appuyant sur mon épaule pour me signifier… me signifier… pas besoin d’un long discours : je sais ce qu’il veut de moi. Cavalière qui monte, en l’occurrence qui commence par descendre sur un mandrin guidé et qui se fraie un chemin dans ma grotte. Il est en terrain connu. Mais est-ce la présence de ce partenaire, de cet homme qui semble vouloir tout diriger à sa guise ? Toujours est-il que la queue de Rémy me semble étrangère, différente, plus grosse, plus longue, plus dure. Et que c’est bon ! Maintenant mes fesses reposent sur les cuisses de mon mec. La queue est en moi, bien enchâssée, mât autour duquel je pourrais tourner. Un autre mât vient à ma rencontre. Alors que je commence à me baiser lentement, Marc lui aussi vient enjamber Rémy allongé. Mais c’est pour me présenter sa queue aux lèvres. Mon mec doit avoir une vision sublime de la fourche qui le domine, et de laquelle deux couilles et une tige dure émergent. Je m’applique à sucer cet homme qui vient de sucer le mien. Il est bien raide, le gland totalement libéré de sa gangue qui le protégeait encore tout à l’heure au début de son érection. Je m’applique, oubliant de me baiser, plaquant mes mains sur les fesses pour mieux guider ma fellation. Mais Marc en veut plus. Il se saisit de mes tétons et les tire vers le haut ...
    ... pour me forcer à monter. Puis vers le bas pour redescendre. Ainsi, à son rythme l’homme me fait prendre sur mon compagnon, alors que ma bouche avance à sa cadence imposée sur sa queue. On sent le besoin de tout contrôler. Quelques secondes, quelques minutes, je ne sais plus mesurer le temps. Je ne connais plus que la tension à la fois douloureuse et jouissive sur mes lobes qui entraînent tout le reste de mon corps. Et puis Marc me libère. Il s’écarte de nous. Un pas vers la table de nuit dont il extrait une capote, capote promptement déroulée sur son mandrin gluant de ma salive. Deux pas et il disparaît derrière moi. Une pression sur l’épaule me fait comprendre de me pencher en avant. Deux mains écartent mes fesses. Une sensation d’humidité, de salive qui coule vers mon anus. Une pointe qui se plaque. Une rondelle qui ne refuse pas la chose. Un gland qui fait son chemin. Un soupir, celui que l’air qui s’échappe de mes poumons déclenche. Un gémissement de sentir la tige avancer, avancer inexorablement. Une crispation de Rémy qui doit se sentir à l’étroit. Une plénitude, plénitude de celle que toute femme prise en sandwich ne peut que ressentir. Voilà, il est en moi. Son mandrin s’est glissé dans mon cul et a bataillé avec celui de Rémy pour se faire une place. Chaque fois que je me fais prendre ainsi je redécouvre ce plaisir. Un plaisir que les mathématiques ne peuvent pas expliquer, alors que pour elles 1+1 = 2. Une femme embrochée par deux bites passe dans une dimension où ...
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